Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

27 septembre 2009

Couacs et fermeté

Projet de hausse du forfait hospitalier : une suite logique à la taxe carbone
De couac en couac, mais dans une logique de plus en plus affirmée, le gouvernement poursuit son acharnement contre le pouvoir d’achat des classes moyennes.

Hier, l’ajournement de toute réforme sur les niches fiscales les plus injustes et la création d’un nouvel impôt sur les déplacements et le chauffage de tout un chacun ; aujourd’hui, une hausse historique du coût de la santé au quotidien pour les Français…

Sans jamais revenir sur le train des mesures fiscales iniques prises en faveur des plus hauts revenus (bouclier fiscal, allègement de l’ISF et des droits de succession, etc.), Nicolas Sarkozy et François Fillon sont en train de multiplier les prétextes démagogiques et d’organiser la confusion pour mieux accélérer leur logique destructrice d’inégalité fiscale. Au-delà des couacs entre ministres instrumentalisés, il faut maintenant dénoncer cette stratégie pour ce qu’elle est vraiment car elle mine en profondeur les valeurs républicaines d’équité devant l’impôt et menace gravement la cohésion sociale du pays.

Najat Vallaud Belkacem, porte parole de Ségolène Royal

                                               ------------------------------

Vincent Peillon et François Hollande ont raison de rappeler le fait que Ségolène Royal avait été moquée à tort sur l’Iran lorsque durant la campagne présidentielle elle prônait plus de fermeté à l’égard du nucléaire iranien et alors que Nicolas Sarkozy refuse aujourd’hui tout "échange" pour le retour en France de Clotilde Reiss retenue en Iran, qualifiant de "chantage" la proposition du président Mahmoud Ahmadinejad.

Il a également maintenu son discours de fermeté sur le nucléaire iranien.

Moi-même, j’avais rappelé dans le rapport de la mission parlementaire sur l’Iran que je présidais l’importance de leur programme nucléaire et l’attitude ferme (mais sans empêcher le dialogue) à adopter.

Par ailleurs, notons une certaine radicalisation du régime avec aujourd’hui une "lutte contre les manequins dans les vitrines : c’est ici.

Jean-Louis Bianco

Les commentaires sont fermés.