> La salle de presse: 16.10

Vendeur d'ananas au marché de gros de Calcutta, Inde. Piyal Adhikary / efe

> Dialogue social: y a-t-il un pilote dans l’avion?  Si l’on veut réussir ce dialogue social, maître-mot de l’action de ce gouvernement, il faut savoir ce qu’on veut et, surtout, où l’on va. On peut se demander, s’agissant du dossier d’Air France, s’il y a un pilote dans l’avion gouvernemental. (lire)

> Charbon: le piège de Ségolène Royal. "On ne peut d’un côté déplorer les effets catastrophiques du dérèglement climatique et de l’autre continuer à investir dans les énergies fossiles. Il faut de la rigueur, et un bon ordre des choses". (lire)

> Contrôles au faciès: malgré une condamnation en juin pour des contrôles policiers abusifs, le gouvernement et Manuel Valls ont décidé de se pourvoir en cassation en dépit de l’avis contraire de la ministre de la Justice, Christiane Taubira. (lire)

> Référendum au PS: des militants loin d'être tous sur le pont. Un vote qui agace jusqu'au sein même du parti. Ainsi dans la Nièvre, les militants refusent de l'organiser. (lire)

> Le PS français en panne avant les régionales: «A force de se focaliser sur le pouvoir, on perd la base. C’est toujours comme ça», dixit un conseiller présidentiel. (lire)

> Palestine: la "génération du mur" se révolte. Portrait d'une génération née après les accords d'Oslo, qui semble avoir perdu tout espoir d'un avenir meilleur. (lire)



> Le Cirque Romanès, victime de violences: leur nouveau spectacle, « La Lune Tsigane brille plus que le Soleil ! », doit débuter samedi 17 octobre. Un appel en forme de pétition (hébergée par le site Mediapart) a été lancé pour dénoncer les violences dont ils font l’objet depuis leur installation dans le 16e arrondissement de Paris. (lire)

Le site du Cirque Romanès ici

 

> Swing

> Que Concert by the sea, d'Erroll Garner, doive figurer dans toute discothèque, cela va sans dire. La publication de l'intégrale de ce concert était inespérée. Le 19 septembre 1955, à Carmel, Californie, le pianiste en état de grâce, avec Eddie Calhoun à la contrebasse et Denzil Best à la batterie, joua vingt-deux morceaux devant un public transporté de bonheur. Un swing joyeux, toujours moderne. (lire)