10 octobre 2016
> La salle de presse: 10.10_
> Présidentielle 2017: ce que mijotent les hollandais. Une apostrophe qui sonnerait aussi bien que le "Tonton laisse pas béton" lancé par le chanteur Renaud le 7 décembre 1987 pour convaincre François Mitterrand d'y retourner : c'est ce que les hollandais disent avoir trouvé et dont ils espèrent garder le secret jusqu'à mi-novembre. (lire)
> Sortir d'une démocratie à la Ponce Pilate: il n’y a plus aucune lumière qui vienne d’en haut : les programmes sont d’autant plus pléthoriques qu’ils sont vides de toute vision. (lire)
> Sélection en master: une réforme… et beaucoup de questions en suspens. Le risque est grand de voir se créer un fossé entre deux types de masters : les masters « sélectifs », demandés par une majorité d’étudiants, reconnus par la communauté universitaire et par les employeurs ; et des masters « de 2ème zone », où viendront s’entasser les candidats qui auront été recalés dans les premiers. (lire)
> Quand Paris «oublie» d'être virulent sur le Yémen: l'Arabie saoudite, fortement soupçonnée d'avoir bombardé une cérémonie funéraire à Sanaa samedi, est aussi le premier client militaire de la France. (lire)
> Histoires révérées: ces nouvelles sont un régal de bouche. Très brèves, elles s'ouvrent et se ferment comme des paupières sur des yeux brillants. Le temps de nous donner accès, dans leur reflet éblouissant, à la vérité d'êtres extraordinaires. Des femmes, pour commencer. Libres, clairvoyantes, ensorceleuses, car Mia Couto a toujours su camper des personnages féminins qui en savent plus que les hommes. Ivrognes, vieillards, enfants forment autour d'elles une cour d'élèves prêts à tout apprendre : pleurer, déserter, « malaxer des silences », mourir, revenir. Macabre, truculente et féerique, chaque nouvelle est un joyau. (lire)
Historias abensonhadas, traduit du portugais par Elisabeth Monteiro Rodrigues, éd. Chandeigne, 17 €.
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07 octobre 2016
> La salle de presse: 07.10_
> Notre-Dames-des-Landes: Ségolène Royal en remet une couche. "Déficit démocratique" et aéroport "surdimensionné". (lire)
> Menaces sur la liberté de la presse: les sociétés de journalistes de 24 médias s'inquiètent du projet de loi intitulé «égalité et citoyenneté», examiné par le Sénat qui s'apprête à remettre en cause la loi de 1881. (lire)
> Le siège du PS au bord de la crise de nerf: le parti ne conteste pas l’existence d’un certain "vague à l’âme" qui règne dans les locaux de la rue de Solférino. (lire)
> Se faire entendre: Hollande continue de se démultiplier au quotidien. (lire)
> Au premier rang: réunions avec ses soutiens, sorties contre la droite et contre Valls… La bonne élève du gouvernement, qui s’est forgé une solide expérience en cinq ans, se veut incontournable. Au côté du Président… ou d’un autre. (lire)
> Pourquoi le futur patron de l'ONU Antonio Guterres va "mouiller la chemise": la rapidité de son élection, signe qu'il a la confiance de tous, va lui permettre d'avoir le maximum d'atouts de son côté pour s'attaquer aux brûlants dossiers qui l'attendent en janvier 2017. (lire)
> Un Nobel au président colombien, pour forcer la paix: la puissance symbolique de ce prix devrait permettre à Juan Manuel Santos d’aborder les négociations à venir avec une légitimité renforcée. C’est le pari de ce Nobel. Il est louable. (lire)
> Miss Peregrine et les Enfants particuliers: Tim Burton retrouve inspiration et poésie avec ce film. A travers le combat sans merci entre des monstres gentils et des créatures maléfiques, sur une île sauvage, dans un jardin en friche, ou autour d'un manège, il rend, de plus, un bel hommage à Ray Harryhausen, grand maître des effets spéciaux à l'ancienne. Tim Burton retrouve le chemin de l'enfance de l'art. (lire)
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