> La salle de presse: 27.11

> L’atterrissage: la COP n’a plus un seul objectif (climatique), elle doit aussi permettre de panser nos plaies. Le problème, c’est que plusieurs pays risquent de faire de même. Être là, oui ; accepter un accord contraignant, non. Ce serait un échec. (lire)

> Hulot: "S'ils viennent déverser un flot des bons sentiments, la COP21 sera un rendez-vous pour rien". (lire)


> 130 noms au cœur de l'hommage national. (lire)

> La France prévient officiellement qu’elle ne respectera peut-être pas les droits de l’Homme. (lire)

> Entre Obama et Poutine, le grand écart de Hollande sur la Syrie: Laurent Fabius a affirmé qu'il faudra que "des forces du régime", soutenues par les Russes, et des "forces de l’Armée syrienne libre", armées par les Américains, celles là même qui s’entre-déchirent depuis quatre ans, joignent un jour leurs forces sur le terrain. Aveu d'impuissance. (lire)

> Hollande boucle un marathon diplomatique aux résultats incertains: l’Élysée parle désormais plutôt de « coordination » que de « coalition », tant cette dernière suppose un consensus politique sur les objectifs recherchés, aujourd’hui introuvable. (lire)

> Après le 13 Novembre, la gauche introuvable: pourrons-nous sortir de cette situation ? Les uns, comme Edgar Morin, en appellent à retrouver le sens de l’avenir et de la paix, à ne pas s’enfermer dans le présent et ses problèmes immédiats. D’autres, tels Thomas Piketty, demandent aux acteurs politiques en place de mettre en œuvre en interne les politiques (de la ville, de l’éducation, de la laïcité, etc.) qui mettront fin à la fabrication du terrorisme : on les entend à peine. (lire)

> Les locataires de l'immeuble de Saint-Denis devant la justice: les pièces du dossier (procès verbaux d’interpellation et de garde à vue) n’ayant pas été transmis à la défense, le juge a finalement mis fin à leur incarcération, estimant que l’état d’urgence n’autorise pas cette sortie du cadre légal. (lire)

> La culture, ce poids lourd de l'économie française en quatre chiffres: plus d'un million d'emplois, une croissance supérieure au reste de l'économie française... La deuxième édition du "Panorama de l'économie de la culture et de la création en France" réaffirme la très importante contribution des secteurs culturels et créatifs à la croissance économique et à la création d’emplois en France. (lire)

> La salle de presse: 26.11

Des enfants dans une rizière du village d'Andriampamaky, à Madagascar. Darrin Zammit Lupi / reuters

> Deux semaines après, urgence: ralentir, réfléchir. Dézoomer. Résolument. Trois conseils de lecture: sur les bombardements et leur efficacité, sur le naufrage du renseignement français, sur le climat et le terrorisme. (lire)

> Eva Joly: «Nous sommes d’un laxisme coupable avec les pétromonarchies wahhabites». (lire)

> Manifestants poursuivis: «Une volonté de museler le mouvement social au moment où il faut débattre, construire.» (lire)

> L’état d’urgence, «n’est pas un chèque en blanc pour faire ce que l’on veut»: afin d’éviter tout faux pas, le ministre de l’Intérieur s’apprête à adresser une circulaire à l’ensemble des préfets pour leur rappeler que les perquisitions administratives doivent être effectuées « dans le respect du droit ». (lire)

> Hollande en quête d’une coalition en France: retour des écologistes au gouvernement après les régionales, rabibochage avec les communistes, rassemblement avec François Bayrou et jusqu’au perdants de la primaire à droite. (lire)

> Régionales en Aquitaine - Poitou-Charentes - Limousin: la gauche menacée. L’issue du scrutin dépendra aussi du score réalisé par les écologistes et le Front de gauche, alliés avec le PS en 2010. (lire)



> Il n'y aura finalement pas de baisse du prix de l'essence: sans plomb-diesel... une fiscalité bien compliquée. (lire)




> Ceci n'est pas un portrait: le Musée des Augustins, musée des beaux-arts de Toulouse présente une exposition totalement inédite sur les figures de fantaisie en Europe du XVIe au XVIIIe siècle. Centrées sur les émotions et les passions humaines, elles offrent au regard une intimité au plus près du sujet et abordent des thèmes universels, toujours étonnamment modernes, comme l'apparence des sentiments, l'ambivalence des êtres humains ou la question du genre. Loin de l'art du portrait contraint par la commande ou la mode, cette exposition est un véritable éloge de la liberté, de l'invention et de la virtuosité en peinture. (lire)

Jusqu'au au 6 mars 2016. Le site du Musée des Augustins ici