| 4 avril '14

Ecotaxe: Royal a pris de court Matignon qui a dû s’adapter. "On pensait qu’elle nous laisserait souffler". (lire)

Ségolène Royal aura-t-elle les moyens d'agir? Dans la région qu’elle préside, elle a pris des positions courageuses, s’opposant parfois à la ligne socialiste traditionnelle, notamment sur les questions énergétiques comme d'infrastructures. Le bilan écologique du gouvernement, à l’heure actuelle, est maigre, très en retard par rapport aux engagements du président Hollande de mai 2012. (lire)

Duflot: «Le Président a fait le choix de changer la forme plutôt que le fond». (lire)

Conseil des ministres: les six consignes de Manuel Valls. (lire)

Déficit: la BCE et Berlin recadrent Paris, qui réclame de la souplesse. A peine arrivé à Bercy, Michel Sapin engage le bras de fer avec la Commission et les partenaires européens de la France. (lire)


Municipales: une défaite à près de 1 M€ pour le PS. En perdant 155 villes de plus de 9 000 habitants lors du scrutin, le parti a dit adieu à autant de sources de revenus. (lire)

Régine Deforges, une vie en roux libre: elle avait une réputation sulfureuse, et c’est son courage qu’il faut saluer. Nulle forfanterie chez cette femme discrète, indéfectiblement juvénile, timide et provocatrice. Au début des années 1970, elle lisait chaque jour le Journal officiel en arrivant à son bureau, pour voir «si de nouvelles interdictions frappaient mes livres». Il arrivait que ça tombe sur d’autres, et c’est ainsi, raconte-t-elle dans ses mémoires, qu’elle apprit à Cavanna l’interdiction d’Hara-Kiri, pour cause de «Bal tragique à Colombey, un mort». (lire)

| 3 avril '14

Plage de Grace Bay Beach, à Turks and Caicos. Getty Images/iStockphoto

Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie, en neuf citations: nucléaire, gaz de schiste, taxe carbone. (lire)

S. Royal, l'«a priori positif» des ONG environnementales: voir débarquer un premier couteau au ministère de l’Ecologie n’est pas pour déplaire aux associations environnementales. (lire)

Les périlleux chantiers qui attendent le gouvernement. (lire)

Les Verts au gouvernement: deux ans de couleuvres. EELV a décidé de quitter le navire. Il faut dire que depuis deux ans, les sujets de désaccord n'ont pas manqué. (lire)


Henri Emmanuelli: "Le PS n'existe plus. Ni à l'attaque, ni en défense". Le député socialiste appelle à la tenue d'un congrès extraordinaire du Parti socialiste ou à une démission du premier secrétaire, Harlem Désir. (lire)

Ecoutes: les appels suspects de Sarkozy au patron de la DCRI. Le patron du contre-espionnage français, Patrick Calvar a confirmé aux juges d'instruction que M. Sarkozy lui avait téléphoné, à deux reprises, en juin 2013 et janvier 2014, pour se renseigner sur l'enquête liée à l'éventuel financement libyen de sa campagne présidentielle, en 2007. (lire)

Hamid Karzaï, le rêve afghan brisé:  Hamid Karzaï prêche avec ferveur la réconciliation avec les talibans, qu'il appelle ses « frères », et nargue les Américains, dont il ne veut plus être la « marionnette ». La paix se refuse, introuvable. Ce n'est pas simplement la tragédie de l'Afghanistan. C'est aussi celle d'Hamid Karzaï, idole meurtrie qui aimerait tant se réinventer dans un combat de légende. (lire)

Un demi-siècle de cinéphilie toulousaine: du film à l'affiche. La Cinémathèque de Toulouse avec 42 000 copies, 500 000 photos, 75 000 affiches et plus de 80 000 spectateurs par an – est parmi les principales institutions dévolues à la sauvegarde et à la promotion du patrimoine cinématographique en France. Tout cela sonne bien sûr un peu institutionnel, mais c'est bien dans ce genre de lieu, que se cultivent l'amour, le savoir, la ferveur et la transmision autour des œuvres. (lire)

Du cinéma plein les yeux, affiches de façade peintes par André Azaïs. Exposition à l'Espace EDF Bazacle. Jusqu'au 27 avril.