27 octobre 2011
| 27 octobre '11
La Journée en un clin d'oeil
Vendeur de pigments de peinture lors du festival de Tihar, Katmandou, Nepal. Navesh Chitrakar / reuters
24H Info
L'Assemblée adopte un budget mort-né, en songeant déjà au futur plan de rigueur. (lire)
Anticor interpelle le nouveau Président du Sénat. (lire)
PS
Laurent Fabius veut rester devant: L'ancien Premier ministre voulait absoluement être assis à côté des leaders actuels du PS pendant l'investiture de François Hollande, le 22 octobre. (lire)
François Hollande cible de la courtisanerie: "Ca fait pitié", commente une élue aubryste. (lire)
Le PS revoit déjà son programme: le temps où Hollande devait défendre le projet socialiste pour être désigné dans la primaire est terminé. (lire)
A Gauche
Le menu épicé des négociations PS-EELV: socialistes et écologistes se retrouvent la semaine prochaine pour poursuivre les discussions en vue d'un accord de gouvernement. Ils divergents sur plusieurs dossiers, le nucléaire en tête. (lire)
Gauche Blogs
Après le printemps arabe, la charia ? (lire)
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Politique-fiction. (lire)
Monde
Les trois non-dits de l'accord de Bruxelles: Le fonctionnement chaotique de l'Europe, son déficit démocratique et la crise sociale à venir : les trois leçons à retenir du sommet de Bruxelles, qui s'est conclu par un accord laborieux. (lire)
L’Europe sauvée ? Non. L’Europe en sursis. Jean-Louis Bianco. (lire)
Terre
Eau, air, bruit : la France reste en retard sur le droit européen. En progrès, mais doit redoubler d'efforts, sous peine de sanctions. C'est l'appréciation portée dans un rapport sur l'application par la France du droit communautaire en matière d'environnement. Un bilan sans complaisance, adopté à l'unanimité, le 12 octobre, par la commission des finances du Sénat et rendu public mercredi 26. (lire)
Cinéma
L’Etat déroute: L’Exercice de l’Etat, c’est l’anti-Conquête, le bal des sosies de l’ascension sarkozyste par Xavier Durringer. Le film enregistre un glissement de terrain démocratique, le sol se dérobe sous les pieds de tous, aussi bien les gouvernants que les gouvernés. Le périmètre de l’Etat est réduit comme peau de chagrin, une cinquantaine d’individus juchés «sur une tête d’épingle». (lire)
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