| 11 décembre '11

La Journée en un clin d'oeil

Route inter-état n°5 à Ashland, Oregon. Bob Pennell / ap

24H Info
Mobilisation pour la paix et « la démocratie » dès maintenant au Pays basque. (lire)

L’affaire qui empoisonne le PS. (lire)

Affaire Wendel : le fisc frappe toujours deux fois.  Seillière et onze autres dirigeants de l'entreprise sont visés par le fisc. (lire)

PS
Lang et Montebourg se chamaillent, Hollande se tient loin: dans un climat tendu, le conclave du PS, en l'absence de Hollande qui préfère mener campagne à l'écart de la « cuisine du parti », a investi à une écrasante majorité la plupart de ses candidats aux législatives. (lire)

Gauche Blogs
Durban, chronique d'une déconfiture misérable. (lire)

Quand Pôle Emploi désinscrit un chômeur sur deux: l'an dernier, quelque 5,6 millions de personnes sont sorties des listes de Pôle emploi (catégories A, B, C) en France métropolitaine. Moins de 5% d'entre elles avaient repris un emploi. (lire)


Ces succès incompréhensibles. (lire)

Monde
Islamabad négocie avec les talibans pakistanais:  selon un chef taliban, un cessez-le-feu pourrait être conclu rapidement. Signe que l'armée prend ses distances avec les États-Unis. (lire)




A Medellin, l’urbanisme social contre la criminalité: ou comment rendre aux 3,3 millions d’habitants de l’agglomération un certain sentiment de sécurité, non pas seulement par la répression, mais aussi par la culture et l’urbanisme. La mairie se lance dans une ambitieuse politique d’investissements publics, en commençant par les quartiers les plus déshérités, via des «plans urbains intégraux». (lire)

Terre
Durban : la nuit n’aura pas suffi.  Confuse, la conférence sur le climat de Durban l’aura été jusqu’au bout. Au terme d’une dernière nuit électrique, les négociateurs, épuisés, se sont séparés sur un accord gravement déconnecté de la réalité climatique. (lire)




Culture/Livres
Jean-Paul Kauffmann : un retour à la vie. Le vin, la littérature, le cigare. Il arrive à parler de lui à travers ses hobbies. Jean-Paul Kauffmann a connu plusieurs vies et refuse de tomber dans la nostalgie, tant il aime la gaieté et l’alacrité. Le bonheur est un combat à livrer. Le gagner, c’est autre chose. Le vin a représenté pour lui, après avoir connu durant trois ans la barbarie dans les geôles libanaises, l’essence même de la civilisation dans des paysages de liberté. (lire)