21 mars 2012
| 21 mars '12
d'infos
laselection
La Journée en un clin d'oeil
Parc National de Sungai Sembilang, à Sumatra, Indonésie. Kemal Jufri / efe
24H Info
Abstention: "Le contexte n'est pas favorable à une forte mobilisation. Plus l'interêt progresse, plus on estime que la participation sera forte. Il y a eu un pic en mars, puis nous avons constaté un décrochage de l'intêret des électeurs au moment du débat sur la viande halal". (lire)
Tuerie de Toulouse : un suspect cerné, un président-candidat aux taquets. (lire)
Nicolas Sarkozy : le changement, c’est 5 ans! En 2007, le futur président-élu est perçu comme quelqu’un de libéral, pragmatique et pro-américain, des valeurs d’ordinaires peu françaises. Cinq ans plus tard, personne n’a plus vraiment l’impression que ces valeurs s’appliquent encore à lui. (lire)
PS
"On ne s'exprime pas tant que les opérations continuent": la consigne, impérative, a été envoyée par SMS à tous les socialistes, depuis le QG de François Hollande, dans la nuit : silence radio. (lire)
Delphine Batho refuse de quitter son logement du parc social parisien: la porte-parole de François Hollande occupe un appartement du parc social de la ville de Paris en toute légalité. Au grand dam de Bertrand Delanoë. (lire)
Monde
La tentation radicale des salafistes tunisiens: la stratégie qui consiste à occuper la rue avec les drapeaux noirs et à conquérir les mosquées leur permet aujourd'hui de recruter dans toutes les régions de Tunisie. (lire)
La Grèce, une cour des Miracles: en quelques heures, des milliers de Grecs handicapés ont retrouvé leurs jambes et des milliers d'aveugles ont vu la lumière. (lire)
Terre
Le bruit réduit la diversité des forêts: les oiseaux chassés par les fracas ne dispersent plus les graines dont ils se nourrissent. (lire)
Cinéma
Ambiance fin de reine: Les Adieux à la reine est un formidable reportage sur la panique qui saisit les tout puissants au soir soudain de leur déchéance. Une débâcle misérable et mesquine, assez jubilatoire par sa mise en scène cruelle et crépusculaire. La scène est particulièrement explicite et réussie quand, dans un couloir à peine éclairé par des chandeliers, on distingue des courtisans affolés se bousculant autour d’un pamphlet pour y lire une liste de 286 têtes à couper, dont les leurs. (lire)
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