| 29 mars '12

                                                                                d'infos
                                 laselection
La Journée en un clin d'oeil

Papillon Caligo Memnon au planétarium de Benalmádena, Málaga. Jorge Zapata / efe

24H Info
Affaire Bettencourt : à qui étaient destinés les 4 millions d'euros? (lire)

Affaire Merah, enquêtes illégales, opacité... l'étrange bilan de la DCRI. (lire)

PS/A Gauche
Hollande n'a "pas le gabarit d'un président"... Bernadette Chirac regrette. (lire)

Hollande, une force un peu trop tranquille: une présidentielle ne se gagne pas sur une synthèse. Elle ne se gagne pas plus en saucissonnant le peuple en clientèles qu'il faudrait satisfaire. Elle ne peut pas non plus se gagner sur le seul antisarkozysme. Elle se remporte sur une vision pour le pays dans laquelle chacun peut se retrouver. (lire)


Hollande : "Je n'ai jamais pensé que l'alternance serait mécanique". (lire)

La « rivière » Mélenchon: du côté de François Hollande, on se demande comment stopper la montée des eaux et ramener la rivière sagement dans son lit, dès lors que manifestement, les appels au « vote utile » n'ont pour l'instant pas d'effet dans les intentions exprimées. (lire)

La lame de Front: un peu trop envahissant pour les socialistes. (lire)

Montebourg raille Mélenchon, "nouvelle mascotte du Figaro". (lire)

Monde
L'Espagne en grève générale aujourd'hui à la veille de la présentation d'un Budget 2012 d'austérité destiné à limiter les dérapages des finances publiques. (lire)







Terre
Manger solidaire : les restaurateurs grecs y croient. La crise financière a ébranlé les fondements de la société grecque. Désormais la population doit faire face à toutes sortes de problèmes : trouver un logement, un travail, ou simplement un repas. Le chacun pour soi pourrait sembler inévitable, mais ce n’est pas le cas. Dans cette épreuve, les Grecs redécouvrent l’esprit d’entraide. (lire)


Beaux-Arts
Au Louvre, sainte Anne ressuscitée: l'éclat du lapis-lazuli, la transparence des drapés rouge sang et gris perle, les bleus délavés du paysage fantastique, la mystérieuse douceur animée des visages - due au fameux sfumato, jeu de clair-obscur sur les traits estompés - ont retrouvé leur lumineux rayonnement. Pendant vingt ans, de la première esquisse de la Sainte Anne, datée de 1500-1501, dans son atelier de Florence, jusqu'à sa mort en 1519, en France, Léonard de Vinci n'aura de cesse de reprendre son tableau. (lire)