| 18 août '12

                                                                                d'infos
                                 laselection
24H Info
Les artistes français aphones: il y a une semaine, déjà, quelques intellectuels se demandaient pourquoi Najat Vallaud-Belkacem, les Ni putes ni soumises et d’autres femmes politiques ou féministes putatives restaient muettes sur le sort des Pussy Riot. (lire)

La normalité de François Hollande, une posture piégée: une présidence normale peut-elle s'imposer dans la durée? Et le temps n'est-il pas le principal ennemi du "président modeste"? (lire)

La mémoire sélective de Brice Hortefeux sur les émeutes urbaines. (lire)

Calais: ces clandestins qui rendent leurs empreintes digitales invisibles. Les raisons de ce geste. (lire)





Alerte canicule et... pénurie de médicaments! Chaque été, des malades éprouvent toutes les peines du monde à se faire délivrer leurs médicaments. En cause: des ruptures d’approvisionnement. Et la recherche de la rentabilité... (lire)

Le triclosan bientôt banni des produits d'hygiène: sitôt sa toxicité musculaire évoquée, des fabricants annoncent qu'ils vont retirer cet antibactérien de leurs gammes. (lire)

PS
La colère de Martine Aubry contre Manuel Valls: la maire de Lille n’a pas du tout apprécié d’avoir été mise devant le fait accompli avec le démantèlement d’un camp de Roms. Au point de devoir écourter ses vacances. (lire)

Aubry passera bien la main. (lire)

Monde
«Les Pussy Riot se sont exposées à la fois à la vindicte de l’Eglise et de Poutine»: journaliste et essayiste spécialiste de la Russie, Galia Ackerman déplore le coup dur pour la liberté d'expression que représente la condamnation des trois jeunes femmes. (lire)



Terre
Barrage de Belo Monte : les Indiens obtiennent un sursis. Au cœur de l'Amazonie, le colossal barrage de Belo Monte n'est pas encore pour demain. Un tribunal régional fédéral a demandé l'arrêt des travaux. La raison ? Les Indiens de la zone n'ont pas été préalablement consultés. (lire)


Culture/Photographie
Martine Franck (1938-2012), l’oubli de soi: elle mettait autant de malice et de douce passion à photographier des spectacles que des paysages, l’Orient que les musées. Et la pâte humaine. Dis-moi qui tu photographies, je te dirais qui tu es. Ses portraits reflètent son goût des autres, la quête de l’intérieur et de la profondeur des êtres. quelque chose passe dans ces photos qui demeure invisible ailleurs. Si ce n’étaient des gens, c’étaient des formes, des lignes, des courbes, des perspectives et des horizons. En noir, en gris et en blanc. Avec du grain comme dans la vie. (lire)