13 novembre 2012
| 13 novembre '12
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La Journée en un clin d'oeil
Cueillette du safran à Pampore, Cachemire. Fayaz Kabli / reuters
24H Info
Conférence de presse: François Hollande est-il un président socialiste? Le fond de la politique doit apparaître avec clarté. Et là, tout reste à faire. C’est sur ce point qu’on dira, ce soir, si François Hollande a réussi ou non, le pari risqué de sa conférence de presse. (lire)
Parti pris: frappés par la violence de la tempête, les Français jugeront le Président sur sa capacité à tenir un langage de vérité, de lucidité, et à incarner sur les sujets les plus sensibles une action marquée par le parti pris de la solidarité. (lire)
Economie Française: Schäuble prend les choses en mains. Doutant des capacités du gouvernement Ayrault à rétablir la compétitivité française, le ministre allemand des finances demande à ses experts des idées sur la question. (lire)
Reste la voie diplomatique pour libérer Aurore Martin: une lettre envoyée du Pays Basque devrait être sur le bureau du ministre des Affaires étrangères, à présent. Datée du vendredi 9 novembre, elle est cosignée par les députées socialistes Colette Capdevielle et Sylviane Alaux. Elles demandent au locataire du 37 Quai d’Orsay, d’intervenir dans le dossier Aurore Martin. (lire)
“La paranoïa face à l’islam augmente”: le sociologue des religions Raphaël Liogier, auteur d’un essai bat en brèche le fantasme d’une islamisation de la France. (lire)
Monde
Aide à la Grèce: l'Eurogroupe se heurte au FMI. Un désaccord qui a encore obligé les ministres des Finances à retarder leur feu vert au déboursement d'une nouvelle tranche d'aide à la Grèce. (lire)
Terre
Les Japonais ont-ils raison d’avoir peur de « manger Fukushima »? Dans la région de Nihonmatsu, à 50 km de la centrale de Fukushima-Daiichi, les producteurs ont continué à cultiver malgré le terrible tribut laissé par la catastrophe nucléaire. Une terre contaminée d’où, pourtant, filtrent des produits sains. (lire)
Beaux Arts
Raphaël dans la ville éternelle: le Louvre consacre une exposition aux sept dernières années que vécut à Rome l’artiste italien. Une fin de vie marquée par un succès tel que le maître dut déléguer à ses disciples. Dès les années 1510, le peintre met en place une véritable entreprise qui porte la marque Raphaël, pouvant mobiliser jusqu’à une cinquantaine de collaborateurs. Ce mode de production a entraîné des discussions sans fin sur les parties à attribuer aux uns ou aux autres, exercice d’autant plus ardu que ses collaborateurs peuvent avoir une production propre et que Raphaël lui-même se rend insaisissable, se nourrissant des échanges avec eux. (lire)
Publié dans La SALLE de PRESSE | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
les sondages, devraient annoncer + 10 % pour FH après sa conférence
Écrit par : LAFITTE | 13 novembre 2012
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