08 décembre 2012
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Hollande a été contraint de passer aux fourneaux: le président a dû s'exposer dans ce dossier aussi explosif qu'incertain. Après que l'accord entre Matignon et Mittal a dérapé inopinément depuis Bruxelles. (lire)
La politique sous son plus mauvais jour: zéro partout ! Pour les deux grands partis de gouvernement, mieux vaudrait oublier la semaine qui s'achève. C'est un condensé de tout ce qu'il ne faut pas faire : trop de bruit pour rien, de jeux tactiques, de faux-semblants alors que la politique est déjà mal en point. (lire)
Législatives partielles: trois tests à haut risque. Elles diront demain l'humeur des Français qui pourraient être portés au désenchantement en raison d'un pouvoir exécutif impopulaire, sur fond de déprime économique et sociale, et d'un parti d'opposition, l'UMP, neutralisé par ses déchirements internes. (lire)
Compte suisse: Cahuzac aurait un moyen simple d’écarter les soupçons. (lire)
Emblème: «Morsi dégage.» Accusé de vouloir monopoliser tous les instruments du pouvoir, Morsi va-t-il connaître le même sort que le raïs après six mois à la tête de l’Etat? (lire)
La visite de François Hollande viserait des relations «apaisées» avec Alger, tournées vers l’avenir et les nouvelles générations. (lire)
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