03 janvier 2013
| 3 janvier '13
d'infos
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La Journée en un clin d'oeil
Port de Darling à Sidney, Australie. Damian Shaw / efe
24H Info
2013 en cinq rendez-vous politiques et sociétaux: le calendrier politique 2013 est léger en comparaison de l'année 2012, marquée par de nombreuses élections. Mais quelques événements marqueront tout de même l'année. (lire) & (lire)
75% : vers un enterrement de première taxe? La taxe sur les super-riches de François Hollande s’apprête-t-elle à connaître le même sort que la taxe carbone de Nicolas Sarkozy ? Qui, après quelques timides tentatives de ripolinage, avait fini par être oubliée en route par la droite. (lire)
A l'Inserm, une chercheuse "indispensable" doit partir après onze ans... et douze CDD: "Il n'y a pas le budget pour pérenniser mon poste, juste les crédits pour lancer un nouveau CDD." (lire)
Hollande-Ayrault: un couple qui cherche encore son équilibre. C'est l'affichage d'une détermination forte de l'exécutif. Mais c'est aussi le signe d'un partage des rôles toujours compliqué entre le président et le Premier ministre. Ce vendredi, il y aura deux « séminaires » sur la situation économique et l'emploi. (lire)
Pour la droite forte, torpiller le droit de grève des profs, c'est "tout à fait" constitutionnel. (lire)
2012: bilan des promesses tenues et brisées par François Hollande. (lire)
Monde
L'Inde a un problème avec les femmes: la vague de protestation qui secoue New Delhi après le viol et la mort d'une jeune femme pourrait se briser sur des archaïsmes très puissants. (lire)
Caricature: si repos il y a, celui de l’Amérique sera de courte durée tant la «solution» à la crise de la dette, entérinée par le Sénat et la Chambre des représentants, ressemble à un marché de dupes. Quand le pouvoir politique est aussi faible, il n’y a plus à se demander pourquoi la finance règne toujours en maître. (lire)
Cinéma
Foxfire: Laurent Cantet, palme d’or en 2008, poursuit son exploration du monde adolescent avec «Foxfire», la quête enragée et engagée d’un gang de filles dans l’Amérique des années 50. Ici, l’espace est ouvert, changeant - d’abord le lycée, puis une maison de redressement, la rue et, enfin, une vieille baraque que le gang se paye en multipliant les larcins -, mais le processus est finalement proche : à un moment, Legs, d’avoir voulu être la maîtresse en liberté, porteuse d’un savoir sur l’aliénation et l’affranchissement, est prise au piège de tous ces regards amicaux, puis interrogateurs et finalement hébétés, qu’elle a rassemblés autour d’elle. (lire)
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