16 janvier 2013
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Récolte des fraises à La Tigra, Honduras. Jorge Cabrera / reuters
Déchiré: personne ne peut contester les difficultés d’un secteur automobile où Renault n’est pas épargné. Ses ventes de voitures s’effondrent en Europe. Mais, en annonçant hier la suppression de 7 500 postes au milieu de la sixième réunion de négociation avec les organisations syndicales, Renault a brutalement renversé l’édifice difficilement bâti vendredi par les partenaires sociaux. (lire)
7500 emplois en moins chez Renault: "acceptable" selon Montebourg: l’Etat étant le premier actionnaire du constructeur, une telle déclaration n’augure rien de bon pour les salariés. (lire)
Renault: une annonce gênante pour l'Elysée. Non-signataire de l'accord emploi-compétitivité, Force ouvrière (FO) ne se prive pas d'ironiser sur l'annonce de Renault. "Cela ressemble à un bras d'honneur". (lire)
A Abou Dhabi et Dubaï, François Hollande ranime les relations avec les Emirats mises en veilleuse depuis que l'industrie française s'est fait souffler, en 2009, un contrat de 20milliards de dollars (15 milliards d'euros) pour la construction de quatre réacteurs nucléaires, attribuée à un groupe sud-coréen. (lire)
Pourquoi Cahuzac hésite à poser la question qui tue à UBS: la banque répondra sans problèmes à une question du type «Veuillez confirmer que j'ai (ou j'ai eu) une relation d'affaires avec vous»... par la négative s'il y a lieu". (lire)
Les termes "père" et "mère" ne devraient pas disparaître du code civil, ce qui priverait la droite de l'un de ses arguments majeurs contre le projet. (lire)
D'une gauche à l'autre, une journée de piques: PS et Front de gauche ont montré que leurs divisions sont tenaces. (lire)
Tunisie: deux ans après, que reste-t-il de la révolution? Partis à l’assaut du ciel, les Tunisiens se sentent embourbés dans un marécage. (lire)
LGV : turbulences financières sur Tours-Bordeaux. Paris n'est pas encore à deux heures de Bordeaux, mais l'équation financière du projet est aujourd'hui ébranlée. (lire)
«Django Unchained»: Tarantino règle son compte à l’esclavage, autre réalité hideuse dont l’Amérique n’a pas fini de payer le prix. Fidèle à sa méthode, il refait donc l’histoire, inventant un esclave (Django-Jamie Foxx) affranchi par un dentiste allemand dépositaire de la culture classique européenne (Christoph Waltz) qui, de surcroît, lui donne un sérieux coup de main pour récupérer sa jeune et jolie femme. Et Tarantino ne se prive pas de punir cette honte nationale dans un flamboyant finale, au mépris réjouissant de toute réalité historique. Jubilatoire. (lire)
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