03 avril 2013
| 3 avril '13
«Ne vous guindez pas trop sur des échasses de vertu!
L’équilibre est instable et les chutes douloureuses.» Jean Jaurès.
Affaire Cahuzac : ce que Hollande savait. Depuis le premier jour, François Hollande croit Jérôme Cahuzac capable de lui mentir. Il sait aussi Edwy Plenel capable de "plomber" son quinquennat. (lire)
Moscovici mis en cause. (+)
Affaire Cahuzac : l'homme double. Ce matin, Harlem Désir a exclu l'ancien ministre du Parti socialiste. Les largesses des laboratoires pharmaceutiques que l’ancien membre du cabinet de Claude Évin pouvait obtenir au profit des clubs sportifs au début de sa carrière politique n’ont cessé d’intriguer. Comme son train de vie à Paris, dont, à Villeneuve-sur-Lot, on ne savait presque rien. (lire)
Quand Cahuzac pourfendait la fraude fiscale: son bilan en matière de lutte contre la fraude et l'évasion fiscales apparaît soudain douloureusement ironique. (lire)
Aveux de Cahuzac: "L’argent qui pourrit jusqu’à la conscience des hommes". (lire)
Discrédit: c’est plus qu’une honte, c’est une ignominie. Avec ses dissimulations, ses mensonges, Jérôme Cahuzac a fait bien plus que salir son honneur. Il a jeté l’opprobre sur son action, discrédité la parole politique et soulevé des doutes quant à l’autorité du chef de l’Etat. (lire)
La gauche assommée par les aveux de Cahuzac: il y a déjà un discrédit sur la représentation politique. Aujourd’hui, le danger est que ce sentiment s’aggrave. (lire)
Que reproche la justice à Jean-Noël Guérini ? Tour d'horizon des affaires qui cernent le sénateur socialiste. Déjà mis en examen le 8 septembre 2011 pour "complicité d'obstacle à la manifestation de la vérité, prise illégale d'intérêt, trafic d'influence et association de malfaiteurs" et le 5 mars 2013 pour détournement de fonds publics dans une affaire de licenciement considéré par le juge comme abusif. (lire)
Le 21 avril 2013, un sénateur français UDI (Union des démocrates et indépendants, le parti de Jean-Louis Borloo) va se présenter à une énième élection. Pourtant, il vient d’être doublement condamné, à cinq ans de prison ferme en janvier et à quatre ans avec sursis en février. Motifs : corruption, prise illégale d’intérêts et détournement de fonds publics. Alors, selon-vous, qui est cet homme ? (lire)
«11,6» : personne n’a oublié l’audace de ce convoyeur de fonds qui, après dix ans de bons et loyaux services rémunérés un peu au-dessus du Smic, avait faussé compagnie à ses collègues en pleine tournée, fauchant le camion blindé et les 11,6 millions d’euros qu’il contenait. Tout, dans cette histoire, avait de quoi faire voler en éclats le couvercle de la boîte à fantasmes : la richesse soudaine d’un prolo, la douceur et la simplicité de la méthode (il avait simplement appuyé sur l’accélérateur du camion), sans oublier ce sentiment de vengeance par procuration d’une population esquintée par la crise, pour laquelle le casse a pris l’allure d’un règlement de compte social. (lire)
Publié dans La SALLE de PRESSE | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
...Si on l'avait écouté, non, pas lui, elle...Qui donc préconisait l'interdiction à un élu(e) de se représenter s'il avait eut affaire à la justice ??? Encore une fois, Ségolène Royal disait ce que les actuels veulent faire....mais un peu tard
Mais quand donc aura t-on compris que l'honnêteté fait partie des qualités de cette femme ??
Écrit par : LAFITTE | 03 avril 2013
Cahuzac est (était) socialiste....Il n'est pas et n'a jamais été LE Parti socialiste. Je ne vois pas pourquoi, messieurs les figarolistes vous orientez votre bave vers le PS ?
Écrit par : LAFITTE | 03 avril 2013
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