| 10 juin '13

Construction d'un complexe de gratte-ciel à Mandaluyong, Philippines. Cheryl Ravelo / reuters

Retraites : vers un mouvement social à la rentrée. Le gouvernement n’échappera pas à un mouvement social contre la future réforme des retraites. Plusieurs syndicats s’y sont déclarés favorables, alors que le rapport Moreau, à paraître vendredi, devrait notamment préconiser un allongement de la durée de cotisation et la réforme du mode de calcul des pensions publiques. (lire)

Non, les fonctionnaires ne sont pas des nantis ! (lire)

Retraites: les 10 pièges d’une réforme à risques. (lire)




«Dehors, en colère, écœurés». (lire)

Le PS courtise ses alliés à l'Assemblée: après la victoire dimanche de l'opposition aux deux élections législatives partielles concernant les Français de l'étranger, le groupe PS et apparentés ne compte plus que 292 membres alors que la majorité absolue est fixée à 289. (lire)

...et anticipe une éventuelle perte de sa majorité absolue: en cause certains décalages avec les alliés du PS. "On ne s'est pas assez suffisamment parlé". (lire)

Austérité: le FMI lâche Barroso. Ni la Commission européenne ni la BDE n'ont visiblement entamé la moindre remise en cause d'une politique désastreuse. (lire)

Pourquoi nos inégalités polluent la planète: s’il existe de nombreuses bonnes raisons de vouloir sauver nos démocraties de leur corruption par les inégalités, la raison écologique est peut-être la plus fondamentale. (lire)




Despotisme: depuis une semaine, la société civile turque se rebelle. Rien n’y fait. La répression, souvent féroce, nourrit au contraire la révolte. Erdogan continue de traiter les manifestants de «vandales et de jean-foutre» et ne veut céder un pouce. (lire)
Turquie | Les femmes en tête de manif: elles sont les premières menacées par la radicalisation du pouvoir en Turquie, estiment-elle. Elles sont en premières lignes pour manifester contre le Premier ministre, Recep Tayyp Erdogan. (lire)


«Shokuzai»: la composante la plus surnaturelle de Shokuzai («pénitence») , c’est sa forme. A mesure que l’on chemine vers le noyau du mystère, le décor tend vers un horizon d’abstraction, un démantèlement des rouages dénudés de sa mise en scène. Le somptueux travail de l’image, tout de subtiles rimes chromatiques, oppose le temps chatoyant des jeux enfantins à un futur traumatisé qui n’en serait que la continuation dégradée, aux teintes si fanées que ses héroïnes, qui y trébuchent sans cesse sur les objets les plus anecdotiques d’une réalité méchante, en paraissent cadavériques, des pantins presque zombifiés. (lire)