10 juillet 2013
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Le PS n'a toujours pas tiré de leçon de la claque qu'il a reçue le 21 avril 2002. Il continue d'ignorer la fuite de ces « invisibles » qui furent sa base électorale jusqu'en 1981. Et, pourtant, ce n'est pas faute d'avoir été prévenu... (lire)
Le Parti socialiste plaide pour une réforme minimum des retraites: le PS a-t-il dressé une véritable herse ou dessiné quelques lignes rouges en pointillé ? Le "texte d'orientation" sur les retraites adopté en bureau national fixe des bornes à l'exécutif, alors que commence la concertation avec les partenaires sociaux. (lire)
Discours du 14 Juillet : pourquoi François Hollande prendra finalement la parole? Les évènements politiques de la semaine passée sembleraient avoir forcé la main au chef de l'Etat. (lire)
"Si tu ne veux pas parler d'écologie, on s'en va !": Jean-Vincent Placé, l'homme fort des Verts, reçu mardi par François Hollande. (lire)
Affaire Tapie: pourquoi la justice a-t-elle saisi les biens de l’homme d’affaires? (lire)
Christine Lagarde aurait menti à la Cour de justice de la République. (lire)
Arnaud Montebourg veut créer un groupe public pour exploiter le gaz de schiste: les déclarations du ministre font d'ores et déjà polémique. "En accord avec le livre qu'il a écrit "Des idées et des rêves", Arnaud Montebourg imaginant exploiter de manière écologique le gaz de schiste nous montre qu'il est un doux rêveur, ce qui pose la question de son maintien au gouvernement", réagissait le président (PS) de la Commission du développement durable à l'Assemblée nationale (lire)
Les LGV quasiment enterrées: c'est quasiment une couronne mortuaire qui a été posée sur les projets liés entre eux. l'ultime lobbying engagé à l'initiative du président du conseil régional Alain Rousset, qui, entouré de plusieurs grands élus aquitains, avait rencontré le ministre des transports Frédéric Cuvillier la semaine passée. (lire)
A. Rousset ne révise pas son cours et assène à ses interlocuteurs convoqués les contre-vérités dont il est le seul à ignorer qu’elles ont fait long feu depuis belle lurette. (lire)
«Grigris»: filmé par la caméra hautement inspirée du chef opérateur Antoine Héberlé, Grigris eut la (trop ?) lourde tâche de représenter à lui seul le cinéma africain au dernier Festival de Cannes, certains s’étonnèrent avec une innocence meurtrière de cette magnificence du cadre. Comme si un film tchadien devait fatalement être moche et sale, comme si des Noirs n’avaient pas le droit à la couleur, comme si la beauté leur était interdite. Grigris, à l’instar de son titre, est comme un fétiche qu’il fait bon serrer contre son cœur, entre autres pour écarter les mauvais esprits. (lire)
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