| 22 août '13

Ségolène Royal fait son retour à l’université de La Rochelle: en matière de sécurité et de justice, elle estime que le gouvernement « doit parler d’une même voix. Mais, pour cela, il faut échanger auparavant. J’ai toujours dit que j’étais pour un ordre juste, il n’y a pas d’ordre sans justice, ni de justice sans ordre. Et je pense que, dans un gouvernement, il y a de la place pour un ministère de l’Intérieur et un autre de la Justice. » (lire)

A La Rochelle, les courants du PS s'égaillent de dîners en cocktails. Un mot d'ordre : l'unité. Une réalité : l'éparpillement. Une université d'été du PS à La Rochelle n'en serait pas vraiment une sans les réunions aux quatre coins de la ville des divers courants, sensibilités et sous-familles qui composent le parti. (lire)

Eva Joly : «Valls est sur la corde raide du populisme». A Marseille, face à la grogne de leurs militants déçus par François Hollande, les dirigeants d’Europe Ecologie-les Verts (EELV) vont « exiger » des changements dans la politique du gouvernement. Sans quoi, jurent-ils, ils quitteront le gouvernement à l’automne. (lire)

Mélenchon fait du pied aux Verts pour les municipales 2014: le PC de son côté a réaffirmé l’idée de listes d’union de la gauche dès le premier tour, selon les projets locaux. (lire)



L’affaire Renault Trucks ou la preuve que la délocalisation n’est pas une fatalité: elle prend à contre pied le discours en vogue sur le sujet. Que nous dit la vulgate dominante à droite, mais aussi parfois au PS, ce qui est bien regrettable ? Que la France est en manque d’ « attractivité ». Qu’elle est une machine à faire fuir les capitaux. Que le problème numéro 1 du pays s’appelle le « coût du travail ». (lire)

Nucléaire: la loi sur l’énergie fera l’impasse sur les centrales à fermer, annonce Martin. Faut-il voir dans cette impasse un oubli volontaire ou un pas de clerc du gouvernement Ayrault en vue des municipales de 2014? (lire)


Armes chimiques en Syrie : l'indignation ne suffit pas. Les Etats-Unis et les pays européens, dont la France, qui avaient menacé en 2012 d'agir de manière décisive en cas d'emploi d'armes chimiques en Syrie, sont renvoyés à leurs paroles vides de crédibilité. (lire)