30 octobre 2013
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Marché de gros des légumes de Chandigarh, Inde. Ajay Verma / reuters
Otages d’Arlit : les dessous d’une libération. Pour mettre un terme aux trois ans de détention des quatre derniers otages français d'Arlit, Pierre Legrand, Daniel Larribe, Thierry Dol et Marc Féret, il aura fallu une opération de récupération de huit jours, le versement d'une rançon et des mois de négociations. (lire)
Les 4 otages du Niger libérés: pourquoi la France ne dira jamais qu'elle a payé une rançon. (lire)
Libération des otages: la fille d'un détenu au Mali dénonce une inégalité de traitement. (lire)
Insultes envers Taubira : «C’est un racisme pur et dur, un racisme de peau». Pour l’historien Pascal Blanchard, l’erreur serait de penser que cette brutalité n’existait pas avant. En réalité ce qui était invisible est rendu visible, un interdit a sauté. (lire)
Eva Sas: "La vie politique est conçue par les hommes et pour les hommes". La député écologiste de l'Essonne accouche dans moins de quinze jours de son troisième enfant. Elle ne sera pas remplacée: la Constitution le lui interdit. (lire)
Les émancipations d'Anne Hidalgo: comment la candidate du PS à la mairie de Paris cherche à se libérer de ses poids : l'ombre écrasante de Delanoë et l'impopularité du pouvoir socialiste. (lire)
«Snowpiercer», rage de glace: le film est perturbant parce qu’il glisse insensiblement d’une esthétique galvanisante de la révolte vers une méditation désabusée sur le pouvoir et le devenir historique. Le héros libérateur se transforme, à son corps défendant, par une ruse de la domination, en idiot utile, agent d’une entreprise de consolidation du système en place. Le spectateur comprend que cette dystopie sur rail, avec ses relents totalitaires orwelliens, n’est jamais qu’un commentaire rageur sur notre présent démocratique et libéral. (lire)
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