| 27 novembre '13

Athènes: ministère des finances. John Kolesidis / reuters

Le PS tient meeting contre le racisme sans pour autant faire entendre sa voix: depuis son université d'été de La Rochelle fin août, le PS multiplie les mobilisations contre la montée des extrêmes, mais ces rendez-vous ne rencontrent guère d'écho et s'achèvent bien souvent sur des positions purement incantatoires. (lire)

Prostitution : malaise et divisions au sein de la majorité. Un responsable PS décrypte : « Il y a plusieurs natures de résistances. Pour certains, ce n'est pas le bon moment, d'autres font confiance aux associations qui sont contre, et enfin certains n'ont pas aimé la façon dont le texte a été amené, sans explication en groupe, avec une disqualification de ceux qui étaient opposés. » (lire)

Pourquoi François Hollande envoie des troupes en Centrafrique: si la France réussit cette mission centrafricaine, elle aura reconquis une bonne part de son influence singulièrement affaiblie sur le continent, se positionnant comme un partenaire indispensable là où elle risquait de devenir un vague souvenir. (lire)

Un manifeste "pour sortir la politique du Moyen-Age": une cinquantaine d'élus signent un manifeste pour mettre un terme aux pratiques dégradantes visant les femmes politiques. (lire)


Philippe Varin va-t-il toucher sa retraite chapeau de 21 millions d'euros? Alors que le groupe automobile français a officialisé l'arrivée surprise de Carlos Tavares, l'ex numéro 2 de Renault, à la tête de son directoire en 2014, ce sont les conditions de départ à la retraite offertes à son actuel président, Philippe Varin, qui font scandale. (lire)

Claire Nouvian: «Les pêcheurs ne savent pas s'ils font des dégâts». La directrice de l’association Bloom milite contre le chalutage en eaux profondes, qu'elle accuse de détruire les fonds marins. (lire)




«The Immigrant»: une vue de la statue de la Liberté de dos, ainsi s’ouvre The Immigrant, cinquième long métrage de l’Américain James Gray.  En lieu et place de la fresque nationale attendue, nous est montré  l’envers du rêve américain, sous les traits d’un mélodrame à focale resserrée au naturalisme léché, qui fonctionne d’autant mieux qu’on l’appréhende comme un opéra, dans son lyrisme comme dans ses excès, voire ses scènes de confession, qui marchent par paire, à la manière d’arias. (lire)