16 janvier 2014
| 16 janvier '14
Le pont de Brooklyn dans le brouillard. Bebeto Matthews / ap
Non-cumul: le baroud d’honneur des sénateurs. Les élus de la Chambre haute se sont une nouvelle fois exclus du dispositif voulu par le gouvernement, le réservant aux seuls députés. Une fronde vaine, puisqu’au final, c’est l’Assemblée qui aura le dernier mot. (lire)
Le hollandisme, quel «isme» est‑il? En se disant social-démocrate, que fait le président de la République ? Du socialisme, du social-libéralisme, du molletisme? (lire)
La social-démocratie à la française est une plaisanterie: dans l'état actuel de la France, ce concept, qui suppose notamment un équilibre des forces entre salariés et patronat, est vide de sens. (lire)
Les militants du Parti socialiste entre loyauté et désarroi: la rue de Solférino a beau multiplier les coachings progouvernementaux, les militants socialistes peinent à assurer le service après-vente du cap libéral de l’exécutif. (lire)
Le lion ne rugit (presque) plus en Afrique de l’Ouest: des chiffres précis viennent qualifier l'ampleur du désastre : avec moins de 250 individus adultes et 150 lionceaux, répartis en quatre peuplements isolés, les lions sont proches de l'extinction dans toute l'Afrique de l'Ouest, alerte une étude publiée dans la revue scientifique PLOS ONE. (lire)
La Ballade de Rikers Island: le roman de Régis Jauffret ne s'ouvre pas sur un préavis, mais de plain-pied entre les quatre murs d'une cellule, sur l'île carcérale new-yorkaise qui constitua l'un des principaux décors de l'affaire DSK. Régis Jauffret est aimanté par l'opacité, les dérèglements de l'esprit humain, attiré par les ressorts pervers à l'œuvre dans les relations humaines, les manipulations, les rapports de pouvoir, la violence insidieuse ou directe qui minent les liens entre les êtres. (lire)
Publié dans La SALLE de PRESSE | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
En allégeant les charges patronales,le président escompte un "sursaut citoyen" de la part du patronat??
A mon humble avis,ce sursaut risque de se faire attendre pour les raisons suivantes:en premier lieu l'expérience malheureuse de son prédécesseur avec sa baisse de tva dans la restauration..les entreprises du CAC sont dèja privilégiées par leur taux d'imposition,par rapport aux PME..sans qu'il y ait eu la moindre compensation sociale ou sala riale..il y a aussi et surtout le fait que les "élites" de "chez nous",jouent contre leur propre pays,et cela date de la seconde guerre mondiale,évasion fiscale devenue, sport national..B; Arnaud en étant la partie visible de l'iceberg avec qq représentants du Show Bizz???
a ce sujet,il n'est peut-être pas inutile de relire l'ancien résistant Marc Bloch:"dans l'étrange défaite"
Plus prés de nous l'article de Marie France Betchel,ancienne directrice de l'ENA paru dans le N°873 de Marianne!!
Écrit par : bob08 | 16 janvier 2014
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