| 17 février '14

Pêche dans les eaux gelées de la rivière Moskova, Moscou. Mikhail Metzel / ap

L’abstention-sanction guette: depuis le début du quinquennat, les défaites de la majorité lors des élections partielles s’expliquent en grande partie par la trop faible participation des électeurs de gauche et des socialistes en particulier. (lire)



François Hollande et les patrons: une histoire d'amour contrariée. M. Gattaz semble vouloir se saisir de 'annonce d'un « pacte de responsabilité » qui se traduirait par une baisse des charges pour les entreprises en échange de « contreparties » à définir, avant de paraître minauder, s'interrogeant sur ce qui se cache derrière cette déclaration. A moins qu'il ne s'agisse que du énième soubresaut d'une impossible histoire d'amour. (lire)

Gers: Françoise Castex claque la porte du PS. Eviction de la liste aux européennes, désaccords politiques sur la façon dont le PS est géré, c'est l'armée mexicaine ! Elle a donc décidé d'œuvrer auprès de Pierre Larrouturou, qui a fait plusieurs allers-retours au PS avant de le quitter en novembre dernier et après s'être un temps rallié à Europe Écologie-Les Verts. (lire)

A Marseille, les tractations du PS et du MoDem en vue des municipales: selon certains socialistes, une telle alliance donnerait un effet « booster » à la liste PS dans une région où elle aura fort à faire face au FN et l'UMP. Elle permettrait aussi de renforcer la campagne de Patrick Mennucci à la Mairie de Marseille. (lire)

Guéant n'est parti de l'Elysée qu'avec "son cahier": l’ancien secrétaire général de l’Elysée réfute en bloc les accusations de nettoyage des archives portées contre lui. (lire)

En Afrique du Sud, la révolte des townships sous le feu: des élections générales doivent se tenir le 7 mai et l’ANC, au pouvoir depuis vingt ans, fait figure de grand favori. Mais la campagne et les nouvelles promesses qui l’accompagnent alimentent l’exaspération croissante de la population. (lire)


En finir avec Eddy Bellegueule: le livre coup de poing d'un surdoué de 21 ans. «En finir avec Eddy Bellegueule», c'est «Fantasia chez les ploucs», mais pour de vrai. Il en émane une violence radicale, distanciée, soutenue par un style célinien. A 21 ans, Edouard Louis signe un premier roman époustouflant, En finir avec Eddy Bellegueule, son patronyme originel. Il en a récemment abandonné l'estampille pour cette nouvelle identité, condition de sa survie. Un petit chef-d'œuvre. Son histoire. (lire)