18 février 2014
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Hippodrome de Newbury, Angleterre. Rebecca Naden / ap
Les « Réunionnais de la Creuse »: pourquoi cinquante ans de silence? Il a fallu cinquante ans au Parlement pour s’intéresser à cet épisode peu reluisant de la République. Une éternité si l’on compare avec nos voisins britanniques qui, dès les années 50, ont dressé un bilan très négatif des migrations d’enfants vers l’Australie. En France, rien de tel. La députée réunionnaise Ericka Bareigts, à l’origine de la proposition de résolution, souligne la méconnaissance de ce trait historique, jusqu’à La Réunion. (lire)
Le néo-libéralisme est une «relique barbare»! N'est-il pas navrant que ceux-là même qui se réclamaient, hier encore, pour la croissance et pour l'emploi se soient mus aujourd'hui en ardents défenseurs du « sang et des larmes » ? Du credo de l’équilibre budgétaire – qualifié religieusement de « règle d'or » - inlassablement récité par l'actuel exécutif « socialiste ». (lire)
François Hollande joue les VRP auprès des investisseurs étrangers: pour que son pacte soit un succès, le chef de l'Etat sait qu'il devra avant tout convaincre les patrons français de le signer. Ce compromis social suffira-t-il pour faire taire les critiques de ceux qui dans la majorité s'émeuvent de voir l'ancien « adversaire de la finance » s'afficher avec des représentants de fonds qataris ou chinois à quelques semaines des municipales ? (lire)
Giron: difficile pour Hollande de vanter aux investisseurs étrangers une France «ouverte au monde» quand, dans le même temps, il prend bien soin de contrebalancer l’entrée des Chinois dans une des entreprises phares de l’Hexagone. (lire)
Nucléaire iranien: les négociations commencent vraiment. Un mauvais présage ? A la veille de l'ouverture des négociations pour un accord final sur le programme nucléaire iranien, le Guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei, a semé le trouble en affirmant qu'elles « ne mèneront nulle part ». (lire)
La femme qui en savait vraiment trop: voici donc l’occasion de faire un premier bilan des conséquences de la divulgation de l’évasion fiscale organisée par UBS en France, grâce à Stéphanie Gibaud et à une poignée de ses collègues, autant que grâce aux policiers, douaniers et magistrats qui furent aussi des sources de premières importances.(lire)
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