| 24 avril '14

Shila Begum, survivante du Rana Plaza: la pire tragédie de l'industrie textile avait illustré avec horreur, le 24 avril 2013, le mépris à l'égard de ces salariées du low cost, des propriétaires d'usines de ce pays et de leurs donneurs d'ordres, les marques de mode occidentales – Zara, Primark, Benetton, Camaïeu, Mango, C& A, El Corte Ingles – ou les filiales de la grande distribution, comme Auchan. A ce jour, aucune de ces victimes n'a été correctement indemnisée. (lire)

Royal, cachez ce dessein…: décidemment, le Ségo bashing demeure une constante de nos publicistes d’investigation. On se doutait bien que l'arrivée de Ségolène Royal allait faire grincer des dents et bousculer certaines habitudes dans ce palais de la belle endormie qu’était devenu ministère de l'Ecologie. (lire)


Matignon peine à calmer la grogne des députés PS: d'ici à mardi, le président du groupe doit s'efforcer de trouver, avec le premier ministre et le ministre des finances, des points d'« atterrissage » sur les questions ouvertes à la discussion. (lire)

Décentralisation: des fusions de régions même en cas de référendum hostile. Se dessine une nouvelle organisation territoriale du pays reposant sur deux piliers: les intercommunalités, dont les métropoles, et les régions. (lire)

Hommage, chômage et amertume dans la ville de Jean Jaurès: le climat est moins à la franche hostilité qu’à la déception très prononcée d’une population qui, à Cramaux, a voté François Hollande à plus de 70% en 2012. (lire)

Complémentaires santé: l'opacité bien orchestrée des frais de gestion. Sur le papier, il devait s'agir d'une grande opération de transparence. Mais dans la réalité, la publication des frais de gestion des complémentaires santé, obligatoire depuis le 1erjanvier, est un véritable maquis où persistent des écarts extrêmement élevés. (lire)

Adnan Joubran ajoute une corde à son oud: le jeune Joubran a cogité l'idée d'une fusion musicale, dont Borders Behind est l'heureux résultat. Un album qui a séduit ses frères, se réjouit-il, mais laissé sceptique l'oreille musicale « classique » du père. Un père évoqué avec tendresse, vivant là-bas, en Palestine, leur terre « précieuse », riche de culture, « de parfums, de fleurs et d'olives… de grands rêves et d'espoir ». (lire)