> La salle de presse: 08.10

> Ségolène Royal refuse les forages dans le parc du Lubéron: ce projet, sur lequel une consultation publique est organisée jusqu'au 11 octobre, avait suscité une vive émotion parmi les habitants et les élus du parc du Lubéron. (lire)

> Notre-Dame-des-Landes: le projet d'aéroport toujours pas abandonné. Selon un document confidentiel pour les les six années à venir en Pays-de-la-Loire, le financement du volet routier du projet de futur aéroport est toujours prioritaire. (lire)


> Conférence de Milan sur l'emploi: Hollande pris en tenaille entre Renzi et Merkel. Le débat entre pro et anti austérité sera au centre de la conférence. (lire)

> Réforme de l’allocation chômage: un débat qui passe mal au PS. Les déclarations du premier ministre Manuel Valls, depuis Londres, lundi, ont relancé le sujet. (lire)

> Faut-il toucher aux allocations familiales pour tous ? (lire)




> Il n'y a pas de problème de voile à l'université, il y a un problème à gauche: alors que deux affaires récentes relancent le débat sur le port du voile à l'université, la gauche est divisée, n'arrivant pas à trancher entre signe de liberté individuelle ou de domination de la femme. (lire)

> Relation orageuse entre le PS et son allié Radical: Jean-Michel Baylet digère mal son échec aux élections sénatoriales. L’ancien ministre de François Mitterrand est certain d’avoir été victime d’un règlement de comptes orchestré par les socialistes. (lire)

> Bygmalion: ce que l'on sait, ce qui reste mystérieux. Les protagonistes supposés ou avoués de l'affaire dessinent une image parcellaire, parfois contradictoire, mais souvent éclairante, des irrégularités supposées du financement de la campagne de Nicolas Sarkozy. (lire)

> Syrie: Kobane, une résistance désespérée.  La coalition internationale, menée par les États-Unis, a intensifié ses frappes et les combattants kurdes offrent une belle résistance, mais cela ne semble pas suffire pour enrayer l’avancée puissante des jihadistes. (lire)

> Still the Water: tourné dans l’archipel japonais d’Amami, le film de Naomi Kawase est une splendide méditation entre premier amour et derniers instants. L’immersion sensorielle que propose le film est d’autant plus perturbante qu’elle s’accompagne d’effets de palier et de désorientations successifs. Les personnages sont constamment pris dans un dilemme d’appartenance, entre le bonheur simple d’être là et la furieuse envie d’aller voir ailleurs. (lire)