> La salle de presse: 26.05

Une femme passe du paddy (nom donné au riz avec son enveloppe) à Burha Mayong, Inde.
Anupam Nath / ap/ sipa

> Impôt sur le revenu: couac autour du prélèvement à la source. Le président du groupe PS à l'Assemblée, est-il allé un peu vite en déclarant que le prélèvement à la source de l'impôt sur le revenu commencera à être mis en place avant 2017? (lire)

> Ce que contient le projet de loi fourre-tout sur le dialogue social: François Rebsamen a déjà fait savoir qu'il n'est "pas opposé au recours du 49-3", permettant l'adoption du projet de loi sans passer par un vote, comme pour la loi Macron en février. (lire)

> Hollande cajole les centristes écolos pour ramener les Verts à la raison (lire) et anticipe l'après-2017: le congrès socialiste protège Hollande à court terme, mais il verrouille l'avenir. C'est l'analyse de François Bayrou qui attend, sagement, au centre de recomposer une galaxie politique à partir des fragments éclatés de la droite et du PS. (lire)

> Cambadélis craint l’émergence en France "d’un mouvement comme Podemos" face à la désaffection militante qui touche le PS. (lire)

> Podemos en France, c’est possible? Au moment où le PS a perdu une bonne part de ses militants et se recroqueville sur ce qui lui reste d’élus et d’apparatchiks, le résultat de Podemos peut poser question. (lire)

> Pourquoi ils ont quitté le Parti socialiste? En trois ans, le Parti socialiste a perdu 40.000 militants. Un temps pleinement engagés, ils ont depuis décidé de rendre leur carte. Les raisons de ce choix.  (lire)

> Après Superman, super top-model: Arnaud Montebourg n'en finit plus de changer de métier. (lire)

> Europe: l'échec de la stratégie du "containment". Les élections locales espagnoles du dimanche 24 mai signent, au-delà du contexte local, l'échec de la stratégie des Européens depuis le coup de tonnerre de la victoire de Syriza le 25 janvier dernier. (lire)

> Mésopotamie, carrefour des cultures: alors que la « communauté internationale » paraît tétanisée face à l’avancée jdihadiste, il est bon de retrouver l’espoir à l’évocation de l’expérience de Najeeb Michael ou d’Omar Islam. Et on sort de l’hôtel de Soubise convaincu que, malgré l’horreur présente, la barbarie n’aura jamais le dernier mot. (lire)

Jusqu'au 24 août 2015, Hôtel de Soubise, 60 rue des Francs-Bourgeois, 75003 Paris. Le site de l'exposition.