27 mai 2015
> La salle de presse: 27.05
Chicago la nuit. Kiichiro Sato /ap/ sipa
> Le 15 juin à 20h50 - France 3: portrait de Ségolène Royal par Gérard Miller. Comprendre comment Ségolène Royal a réussi à démentir les mauvais augures et à témoigner d’une aussi étonnante résistance aux chocs. Repérer ce qui, depuis son enfance et tout au long de sa vie, a bien pu la rendre aussi obstinée et, plus généralement, aussi atypique. (lire)
> Espagne | Deux femmes symboles de l'alternative à l'austérité: les élections municipales et régionales du 24 mai ont vu la montée de deux militantes qui ne sont pas issues de la classe politique traditionnelle. (lire)
> Discours au Panthéon: un moment-clé pour François Hollande. La nation et le vivre-ensemble seront des thèmes majeurs de l’élection présidentielle. Et tous les prétendants à 2017 l’ont en tête. (lire)
> Agnès Saal et les taxis de la République: le service de l’État est une mission et non un passe-droit. L’exemplarité n’est pas un luxe, elle est le ciment indispensable du pacte républicain au moment où chacun est appelé à l’effort pour le bien de tous. (lire)
> Régionales: le PRG n'acceptera pas d'être un "supplétif" du PS dans treize régions sur treize. (lire)
> Martine nous a trahis! (lire)
> Le Parti socialiste promet de se remettre à parler aux gens. (lire)
> Hollande a-t-il tué les mutuelles? Si elle a pu apparaître comme un geste en faveur des mutuelles, dont le PS a toujours été proche, celles-ci ont le sentiment, aujourd'hui, d'un coup de pouce malencontreux, en raison des conditions de mise en œuvre de la généralisation de la complémentaire santé. (lire)
> Le gouvernement recule sur le contrôle des données personnelles des chômeurs: le ministère du Travail retire un amendement visant à permettre à Pôle emploi d’accéder aux données personnelles (comptes bancaires, factures de téléphone...) des chômeurs suspectés de fraudes. (lire)
> Le point faible du virus Ebola découvert, ouvrant la voie à de nouvelles thérapeutiques humaines. (lire)
> Los Hongos: à Cali, le Colombien Oscar Ruiz Navia suit le quotidien de deux ados adeptes de street art et en quête de liberté. Cali est en effervescence électorale, un nouveau maire, plus jeune, pourrait prendre la ville. On voit deux mondes coexister, la sous-culture urbaine des concerts alter remplis de fracas hip-hop et la forte influence de l’Eglise, omniprésente au côté des gens de pouvoir, cherchant à influer sur les votes par des discours émollients. (lire)
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