05 juin 2015
> La salle de presse: 05.06
Sur la plage de Barceloneta, à Barcelone. Ronny Siegel/ flickr /cc
> PS: un congrès pour quoi faire? Rarement congrès socialiste aura connu aussi faible enjeu. Dès lors, le seul enjeu de ce congrès sera l’applaudimètre, ainsi que la tonalité de certains discours. (lire)
> A Poitiers, les socialistes s’apprêtent à vivre un congrès à risque: non pas, comme par le passé, à cause de la violence des affrontements politiques ou de la guerre entre les différents courants. Bien au contraire, le réel danger dans ce congrès est d’apparaître pendant trois jours comme un objet dépourvu d’intérêt qui n’a pas grand-chose à dire aux Français. (lire)
> "Si je m'embête, j'irai au Futuroscope !" Certains craignent de trouver le temps long, au point de jalouser… l’UMP, enfin, Les Républicains. (lire)
> Le taux de Français se déclarant proches du Parti socialiste a chuté de moitié depuis 2011: le «grand parti de la gauche» a du plomb dans l’aile. (lire)
> La COP dans les starting blocks: l’adoption d’un accord universel sur le climat ne s’improvise pas. Le 30 novembre prochain, quand 40 000 personnes s’engouffreront pour douze jours dans les allées du Bourget à l’occasion de la COP21, le gros du travail aura été fait. (lire)
> Edward Snowden: «Pendant que vous lisez ceci, le gouvernement en prend note». (lire)
> La Grèce repousse ses paiements de juin au FMI à la fin du mois: un accord, Alexis Tsipras l'a clairement affirmé, ne peut se faire sur les bases du plan des créanciers. Il ne peut être question de coupes dans les retraites. Le temps, loin d'affaiblir cette position, semble au contraire la renforcer. Et certains pourraient être tentés de conclure du manque de coopération des créanciers. (lire)
> Mésopotamie, carrefour des cultures: alors que la « communauté internationale » paraît tétanisée face à l’avancée jdihadiste, il est bon de retrouver l’espoir à l’évocation de l’expérience de Najeeb Michael ou d’Omar Islam. Et on sort de l’hôtel de Soubise convaincu que, malgré l’horreur présente, la barbarie n’aura jamais le dernier mot. (lire)
Jusqu'au 24 août 2015, Hôtel de Soubise, 60 rue des Francs-Bourgeois, 75003 Paris. Le site de l'exposition.
Publié dans La SALLE de PRESSE | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Dire "Si je m'embête, j'irai au Futuroscope,mon hôtel n'est pas loin ! "
Il serait souhaitable que tous ces critiqueurs expliquent les actions positives qui sont faites, car il y en a, plutôt que de lancer des petites phrases qui font le beurre des médias...et font fuir les militants.
Jalouser l'UMP qui fait son"congrès" en un jour , manger un sandwich . Certains socialistes devraient prendre de la graine, accepteraient ils cela pour eux ???
Écrit par : C Magnat | 05 juin 2015
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