15 juillet 2015
> Quartiers d'été # 12
La plage de Brela en Croatie.
> Grèce: La vraie nature du troisième mémorandum. L'objectif réel des créanciers: cacher leurs mensonges. (lire)
> L'Eurogroupe malade de la stratégie de l'autruche: une cohorte d’économistes et de personnalités ont condamné pêle-mêle l'austérité imposée à la Grèce. Taclant cette obstination à ne pas vouloir restructurer la dette et, finalement, ce « plan mal fichu et très déraisonnable » que l’Eurogroupe a imposé aux forceps à la Grèce. (lire)
> La défaite européenne: l'Union européenne est apparue du côté des cyniques, des brutaux, des puissants. Elle est intervenue contre le suffrage majoritaire d'un pays. (lire)
> Le FMI défend l'idée d'un allègement de la dette grecque jugée non viable et estime que la zone euro doit aller "beaucoup plus loin" que prévu pour alléger la dette de la Grèce, et pourrait même être contrainte d'en effacer une partie. (lire)
> Pollution de l'air: Ségolène Royal promet des mesures "extrêmement fermes". "Il ne faut plus que les gens rouspètent, que les gens disent 'ce n'est pas le moment, on verra demain'. Il faut aussi que les maires des grandes villes prennent leurs responsabilités dès lors que la loi de transition énergétique va leur donner des moyens d'agir." (lire)
> Liêm Hoang-Ngoc quitte le Parti socialiste: l'ex-eurodéputé et économiste fonde la «Nouvelle gauche socialiste» et veut passer aux «travaux pratiques». (lire)
> 14 juillet : la réinvention tranquille de François Hollande. (lire)
> Les lois Macron et Rebsamen sont à peine votées que la prochaine vague de régressions sociales se profile sous prétexte de simplifier le Code du travail. (lire)
> Iran. Un accord qui “change le cours de l'Histoire”. (lire)
> La Isla mínima: l'opposition de style entre le « good cop » et le « bad cop » est un classique, sinon un cliché du polar. La Isla mínima la rend plus complexe, dévoilant aussi bien la part d'ombre du « gentil » Pedro (Raúl Arévalo, découvert en steward gay dans Les Amants passagers d'Almodóvar) que la séduction ambiguë du cynique Juan (Javier Guttiérez, impressionnant). A l'image des marais, où la fange sommeille sous l'eau trouble, les frontières entre la loi et le crime, entre le bien et le mal deviennent floues. (lire)
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