20 juillet 2015
> Quartiers d'été # 16
Lugano sur la rive du Lago Ceresio. photo: Terrance Faircloth
> Le courage du désespoir: l’héroïsme de Syriza a consisté, une fois la bataille politique démocratique gagnée, à risquer un pas supplémentaire dans la perturbation du bon fonctionnement du Capital. (lire)
> Crises: la crise grecque, dont on pressent qu’elle est loin d’être achevée, aura eu pour une de ses premières conséquences d’avoir exposé la véritable nature de la zone Euro et d’avoir permis au débat sur l’Euro lui-même de revenir au premier plan. (lire)
> Gardanne: quand Cambadélis capte la victoire du Front de gauche. Après la victoire du candidat communiste lors du second tour de l'élection municipale partielle dans les Bouches-du-Rhône, le Premier secrétaire du PS s'est félicité de cette victoire. Qui n'est pas celle des socialistes. (lire)
> Immigration: des droits à petits pas. Les milieux associatifs restent très inquiets même après les clarifications apportées en commission. (lire)
> Bayrou: "Les attitudes et les choix fondamentaux de Sarkozy m’inquiètent". Le maire de Pau, François Bayrou, se méfie des primaires, et juge "inenvisageable" que la présidentielle de 2017 se limite à un choix entre François Hollande, Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen. (lire)
> «Pour Cuba, le geste politique de ce 20 juillet est historique»: après 54 ans de froid diplomatique, Cuba et les États-Unis ont rouvert officiellement leurs ambassades à La Havane et à Washington ce lundi, signe du rapprochement engagé en décembre 2014 par Raul Castro et Barack Obama. (lire)
> Burundi. Présidentielle sous haute tension: le président du Burundi Pierre Nkurunziz brique un troisième mandat lors des présidentielles de mardi. Une candidature contestée par par l'opposition et la société civile. (lire)
> L’activisme lumineux de Luz Interruptus: de Luz Interruptus, on ne sait pas grand-chose. Le collectif, dont le nom signifie « Lumière interrompue », garde soigneusement l’anonymat. D’eux, on sait surtout ce que dit leur site : ils sont deux têtes pensantes (mais remercient régulièrement toute une bande de collaborateurs), venues de l’art et de la photo. Ils ont commencé en 2008, trois ans avant que Madrid ne devienne le cœur de la contestation sociale espagnole avec le mouvement des Indignés. (lire)
Le site du collectif (en espagnol)
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