07 octobre 2015
> La salle de presse: 07.10
> 8,4 millions d'euros de primes de départ... alors qu'il reste dans l'entreprise: toucher des indemnités de départ sans partir, la situation a de quoi interpeller. (lire)
> Comprendre la colère des salariés d’Air France: la violence est souvent le fruit du mépris. Essayons de voir les débordements d’Air France comme autre chose que la sourde barbarie de salariés «radicalisés» : une riposte, certes incontrôlée, de salariés malmenés, eux aussi, par des années d’efforts productifs bien mal récompensés. (lire)
> La CGT ne condamne pas les violences à Air France : "Perdre (son) boulot, ça c'est violent". Le secrétaire général de la CGT regrette que Manuel Valls n'ait pas apporté son soutien aux salariés menacés de licenciement. (lire)
> «Dire que les États sont surendettés, c'est un argument purement idéologique»: selon la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement, les pays riches doivent, pour relancer leur économie, stimuler la demande, d’une faiblesse chronique, en augmentant les dépenses publiques et en relevant les salaires. (lire)
> MSF meurtri: le silence lâche de Paris. La France et ses alliés tentent de faire oublier l’Afghanistan. Leurs dirigeants n’y font plus référence. Kaboul a disparu de leurs discours. C’est une erreur. La guerre n’est pas finie. (lire)
> Bombardé à Kunduz, MSF va saisir la Commission internationale humanitaire d'établissement des faits: «Il est inacceptable que les États tolèrent l'impunité en parlant de dommage collatéral et d'erreur». (lire)
> Côte d’Azur: le projet de « Silicon Valley niçoise », financé par l’État et allègrement soutenu par Christian Estrosi, augmentera le risque d’inondations. Pourtant, l’administration a lancé l’alerte, prévenant que, en cas de crue, le débit du Var pourra être multiplié par deux, l’eau du fleuve côtier ne disposant plus d’espaces naturels sur lesquels s’écouler. (lire)
> Fatima: à la différence de tant de ses confrères, Philippe Faucon ne joue jamais la carte de la surenchère et, avec un respect absolu de ses personnages, radiographie les ambiguïtés et douleurs d’êtres de chair et de sang, habitants de France qui parfois, souvent, sont des laissés-pour-compte de la République. Fatima et ses filles, dans le film, refusent d’abdiquer. Et le cinéaste, derrière sa caméra, les imite. (lire)
Fatima, de Philippe Faucon, avec Soria Zeroual, Zita Henrot, Kenza Noah Aïche.
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