04 décembre 2015
> La salle de presse: 05.12
> Régionales, les urnes de l'angoisse: aujourd’hui, la France est découpée en quatre. Quatre mondes qui ne se parlent plus, ne se comprennent plus, se méprisent pour ne pas dire se détestent. Les abstentionnistes représentent, de loin, le premier parti de France, loin devant le Front national, les Républicains et une gauche désunie autour du Parti socialiste. (lire)
> Pour le PS, la nuit (et le jour) les plus longs: à l’Élysée, à Matignon et à Solférino, la journée de lundi, celle de toutes les tractations, sera décisive. (lire)
> Huit promesses de campagne qu’il ne faut pas croire: en partie, ou totalement inapplicables, car elles ne relèvent pas des compétences des régions. (lire)
> L'investissement des régions sous la contrainte de la réduction des dépenses: les régions financent principalement des projets de grande ampleur (transports, voiries...) pour des montants importants. Deux ou trois projets peuvent donc, à eux seuls, faire basculer l'évolution des dépenses d'investissement des régions dans le vert. (lire)
> Jadot (EELV): "Le gouvernement parle davantage aux tripes de nos concitoyens qu'à leur intelligence". (lire)
> Mia Madre est un mouvement continu, dessinant ce qui rapproche, rassemble ou sépare trois figures féminines, trois grâces, si l'on veut. Un mouvement de va-et-vient entre divers lieux, entre divers états, de la solitude au soutien. Dans les échanges, enfin, proches ou à distance, pleins ou lacunaires, entre la fille (Margherita Buy, à fleur de peau) et sa mère (Guilia Lazzarini, grande dame du théâtre italien), Moretti parvient à témoigner de choses très personnelles, avec le souci constant de les rendre universelles. Il réussit ce tour de force de fondre l'émotion la plus vive avec une simplicité des plus harmonieuse. (lire)
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