07 décembre 2015
> La salle de presse: 07.12
> PS : c'était bien la peine... de tromper ses électeurs et ses militants qui peuvent légitimement, ce matin, se sentir trahis. Bien la peine. (lire)
> Le coup de semonce annoncé: rien ne l’a arrêté. La confirmation des urnes est terrible pour un pays que la terre entière regarde depuis les attentats de Paris. (lire)
> Régionales: le double boycott des urnes. Projets flous, vérités faibles, pas de lisibilité, perte de crédibilité, refus de légitimité, l'équation de la confiance citoyenne a volé en éclat depuis longtemps. « Le peuple a fait sécession » écrivait avec justesse Michel Maffessoli au printemps de 2010. (lire)
> Les quatre questions qui fâchent que l'ensemble de la classe politique doit se poser. (lire)
> Retrait face au FN: le choix de l’Élysée. Contrairement aux éléments de langages distillés tout au long de la soirée, ce n'est pas le bureau national réuni à 21h30 qui a décidé le retrait des candidats socialistes : « C'était plutôt une réunion d'information ! Un simulacre de bureau national, Jean-Christophe nous a juste demandé d'approuver sa déclaration. Je ne sais même pas s'il a appelé Saintignon ou Castaner » (lire)
> Retrait au second tour: le PS a dû retourner sa veste en quelques heures. Ces désistements à la chaîne ont surpris beaucoup de monde, à commencer par les têtes de listes socialistes. Masseret fait de la résistance. (lire)
> La mort de Yossi Sarid laisse orphelin le camp de la paix israélien: opposé aux compromissions du Parti travailliste dont il était un député et auquel il reprochait de s’allier au Likoud pour garder le pouvoir dans le courant des années 80, Sarid avait tourné le dos à une carrière prometteuse d’apparatchik pour mettre ses actes en accord avec ses idées. (lire)
> La déroute du pouvoir: au Venezuela, au terme d’une journée électorale marquée par une très forte participation (74,25 %), l’opposition a emporté 99 des 167 sièges de l’Assemblée nationale monocamérale. (lire)
> Renascence: remise sur pied, après son attaque cérébrale en 2004 puis de longues années de convalescence, Kandia Kouyaté célèbre sa propre lignée, prestigieuse, un ami, sa tante, un mécène ou les courageux guerriers peuls, avec cette véhémence flamboyante que l'on aime tant chez les griots africains. (lire)
Renascence par Kandia Kouyaté - Syllart/Sterns.
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