14 décembre 2015
> La salle de presse: 14.12_
> Ségolène Royal appelle la droite à "repenser la gouvernance" dans les régions où la gauche s'est désistée. (lire)
> La gauche anti "gueule de bois" lance son site: tout faire pour éviter d’en connaître une autre, plus violente, après le 2e tour de la présidentielle en 2017. (lire)
> La leçon de morale de Stéphane Le Foll à une femme au RSA, symbole de la déconnexion des politiques. (lire)
> Smic, quatrième revalorisation sans geste du gouvernement. (lire)
Régionales
> Répit: seule la démocratie pourrait revendiquer une victoire, ce matin. Une victoire de justesse. C'est donc une ultime chance qui s'offre aux démocrates de gauche ou de droite. Pour enfin traiter véritablement chômage, insécurité et éducation. Sinon, ce court répit sera l'un des derniers. (lire)
> A gauche comme à droite, le danger de l’amnésie: ignorer l’avertissement serait dévastateur pour les partis traditionnels. (lire)
> La France qui dit non: deux France du « non » se font face, antagonistes, qu'aucun projet mobilisateur ne semble susceptible de réconcilier. La seconde a gagné, se réjouissent très prudemment les partis de gouvernement. Sauf que le « non » de la première va trouver un nouveau carburant dans cet énième barrage. (lire)
> La défaite pour tous: un risque immédiat a été évité. Mais si l'on ne se pose pas de sérieuses questions pour l'avenir, ce n'est que partie remise. (lire)
> Masseret a fait de la résistance... et gagné son pari: beaucoup, parmi ceux qui n'ont pas fait défection, louent ce "symbole de démocratie et de résistance" qu'incarne désormais à leurs yeux Jean-Pierre Masseret. Une partie des électeurs pense visiblement de même. (lire)
> Jean-Yves Le Drian, le premier cumulard "officiel" sous Hollande qui déroge à la règle qu'avait fixé François Hollande pour son quinquennat en matière de cumul des mandats. (lire)
> La déroute évitée, mais des lendemains compliqués. (lire)
> Plan social au PS: selon les meilleurs pointages, les conseillers municipaux, les maires, les conseillers départementaux, les conseillers régionaux et les parlementaires ne représentent pas moins de... 32% des adhérents du PS, tandis que 8 % sont des "collaborateurs d'élus". A chaque défaite, les dégâts sont d'abord financiers. Plus sérieuse est l'hémorragie militante. (lire)
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