> La salle de presse: 16.12_

Régionales
>  La langue corse en vedette à l’Assemblée de l’île: la large victoire des nationalistes, dimanche 13 décembre, n’a pas été saluée également à Paris et sur l’île. Le premier ministre a négligé le maire de Bastia. (lire)

> 68 députés et 24 sénateurs élus: un cumul des mandats pas problématique pour tous. 42 d'entre eux vont devoir choisir entre leurs différents mandats. (lire)

> Grand Est: un socialiste favorable au retrait de la gauche explique pourquoi il siégera quand même. (lire)

> Déchéance de nationalité: en fin de semaine dernière, Manuel Valls défendait encore cette idée empruntée à la droite, et reprise par François Hollande devant le Congrès après les attentats du 13 novembre. Mais en privé, Manuel Valls n’est pas pour. Visiblement l’exécutif a eu des retours. (lire)

> Plan pour l'emploi: les marges de manœuvre de Manuel Valls décortiquées. (lire)

> Crise des migrants: Bruxelles déçue par la lenteur des mesures. Premier bilan des solutions proposées (relocalisation, « centres de tri » des migrants) et acceptées bon gré mal gré par les États membres ces derniers mois pour résoudre la crise des migrants. (lire)


> Espagne: des élections législatives tendues et incertaines. Le candidat conservateur brigue un 2e mandat. Il est actuellement en tête avec 28% des intentions de vote malgré des accusations de corruption qui touchent des membres de son parti. (lire)

> Les aventuriers de l'art moderne: durant les six épisodes de 52 minutes de Les Aventuriers de l’Art Moderne, les trois réalisatrices – Amélie Harrault, Pauline Gaillard et Valérie Loiseleux – nous invitent à tisser des liens entre des artistes que l’on connaît le plus souvent de manière isolée, à tisser des liens entre leur petite histoire et la grande Histoire, entre leur art et leur vie. (lire)

Les Aventuriers de l’Art Moderne - Arte: mercredi 16 décembre 2015 à 20h50 puis les 17 et 18 décembre à 22h25


> Le Grand Jeu: si le thriller politique, rarement pratiqué en France, intéresse Nicolas Pariser, c'est moins pour son actualité, voire son message, que pour ses vertus dramatiques. Chaque situation a ses enjeux cachés, que suggère une mise en scène ample et lyrique. Mais aussi une écriture d'une grande précision : on n'avait pas entendu depuis longtemps des dialogues aussi fouillés et littéraires. Que la politique, réelle ou rêvée, devienne le terrain de (grand) jeu d'un cinéaste prometteur, audacieux et inspiré, voilà au moins une bonne nouvelle. (lire)