20 février 2016
> La salle de presse: 20.02_
Un artiste de rue se prépare avant une représentation à Al-Diwaniya en Irak. Hadi Mizban/ap/sipa
> Code du travail : à Mulhouse, "on en a marre de payer les pots cassés". La rupture n'est pas encore tout à fait consommée, à condition que "le gouvernement change son orientation." Visiblement, ce n'est pas d'actualité. (lire)
> L’exécutif fait du zèle, la gauche se désole: alors que le remaniement se voulait rassembleur, l’avant-projet de loi libéral du gouvernement ne peut que diviser les socialistes. (lire)
> François Hollande réaffirme qu'il ne se représentera que si le chômage baisse et repousse l'idée d'une primaire, pour l'instant. (lire)
> Umberto Eco, un esprit livre: Eco n’avait pas l’optimisme des philosophes des Lumières, était trop intéressé aux mille façons dont le faux, le vrai et le vraisemblable s’entremêlent pour situer toute la vérité d’un côté et tout le «mal» dans l’autre, son humour, son ironie, l’empêchaient d’«adhérer» totalement à telle ou telle vision du monde. Mais il croyait quand même que la «culture» est une «lumière», une force, une force de vie, une joyeuse puissance d’exister, comme eût dit Spinoza. (lire)
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