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28 février 2016
> La salle de presse: 28.02_
> Clochards de la mondialisation: le président de la République a fait les frais de la colère agricole. Stéphane le Foll a jugé ces débordements « inacceptables ». Certes, mais l’indignation du ministre de l’Agriculture aurait davantage de poids si elle s’exerçait à l’encontre de tous ceux qui transforment nos paysans en clochards de la mondialisation. (lire)
> La démocratie bat de l'aile, la France n'est plus un modèle. Un espoir: la vivacité de la société civile dans la dénonciation de ces dérives. (lire)
> Loi El Khomri: Macron joue le pompier hollandais. (lire)
> Désintox du «vrai-faux» du gouvernement, la suite: l'exécutif a complété la première version de son argumentaire visant à «rétablir» la vérité sur son projet de réforme du code du travail. (lire)
> Loi El Khomri: procession libérale. Fraîchement nommée, Myriam El Khomri avait encore le beau rôle. Celui de rassurer son camp: non, dans la dernière ligne droite avant la présidentielle, le gouvernement ne prendra pas la tangente libérale dans sa réforme annoncée du code du travail et compte ménager sa gauche. Six mois plus tard, l’avant-projet de loi, dont la version définitive doit être présentée le 9 mars en Conseil des ministres, est étrillé par une large part de la gauche. (lire)
> Nouvelle démonstration de force des opposants à l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes: avant même de discuter des modalités du référendum voulu par François Hollande, on attend avec impatience « les résultats de la mission d’inspection commandée par la ministre de l’Ecologie, Ségolène Royal, visant à remettre à plat les éléments du dossier. Si la mission est impartiale, elle ne pourra que se rendre compte que le projet ne colle pas avec les exigences environnementales.» (lire)
> Antoni Tàpies: Parla, Parla. Mort à 88 ans, le 6 février 2012, l'artiste laisse derrière lui plus de 8 000 pièces ; une soixantaine d'entre elles sont exposées à Toulouse. Le Musée des abattoirs inaugure un parcours qui évolue des autoportraits des années 1940 aux assemblages réalisés six décennies plus tard, où figurent des matériaux de la vie quotidienne (riz, ficelle...) à l'instar des compositions surréalistes que Tàpies admirait tant. (lire)
Jusqu'au 22 mai, musée des Abattoirs, Toulouse, www.lesabattoirs.org
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