26 avril 2016
> La salle de presse: 26.04_
> Procès du lanceur d’alerte des LuxLeaks: le Luxembourg n’est plus le "paradis" qu’il était. Cinq ans de prison et 1,25 million d’euros d’amende. C’est ce que risque le lanceur d’alerte Antoine Deltour, à l’origine des révélations des LuxLeaks en 2014 sur les petits arrangements entre le Luxembourg et de multiples multinationales. (lire)
> Hé oh la gauche ! : Quelle est la prise de risque de défendre un bilan face à une Assemblée composée de militants assidus et de membres de cabinets ministériels ou parlementaires socialistes ? (lire)
> Ho ! Hisse ! Donner sens, cohérence et définition à un quinquennat qui n’a pas ressemblé à ce qu’en promettait la campagne de 2012. (lire)
> EELV refuse tout accord avec le PS pour les prochaines législatives: celui conclu en 2012 avait été «déchiré le lendemain» de l'élection de François Hollande. (lire)
> Conférence environnementale : sur le nucléaire, Hollande «se fout de notre pomme» disent certains Écologistes. (lire)
> Opacité, OGM et viande aux hormones: faut-il avoir peur du traité Tafta? (lire)
> Tchernobyl, épidémiologie d’une catastrophe. (lire)
> Seydou Keita au Grand Palais: l'exposition riche de 300 tirages constitue un exact témoignage de la société en Afrique de l'Ouest, de 1948 à 1962. Cette année-là, Seydou Keïta, recruté par Modibo Keïta, le premier président de la république du Mali, ferme son studio. Il faudra attendre 1994 pour que la France le découvre. Et avec lui, « l'ère d'une photographie africaine qui, tout en puisant dans ses racines et dans son histoire, affirma sa modernité ». (lire)
Seydou Keita - Grand Palais - Jusqu'au 11 juillet 2016
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