> La salle depresse: 12.05_

> «Les Français ne sont pas devenus de parfaits libéraux»: ce que les Français ont bien compris et rejettent nettement, c’est la plus grande facilité donnée aux entreprises pour licencier. Avec 600 000 chômeurs de plus depuis 2012 et un chômage à 10 %, c’est le genre de choses qu’il est difficile de vendre à l’opinion et pas seulement à gauche. (lire)

> Loi travail
| Répression contre les syndicats : des manifs «dans un climat oppressant»: le sociologue Karel Yon revient sur le «durcissement» des méthodes policières, dénoncé par un collectif de chercheurs et de représentants syndicaux. (lire)

| Les syndicats veulent « passer à la vitesse supérieure » après l’usage du 49-3. (lire)

| 2 députés quittent le groupe PS "pour ne pas pour brader l'héritage de François Mitterrand, renier le Conseil national de la résistance ou trahir Léon Blum et le Front populaire qui sont les piliers de notre idéologie socialiste". (lire)

> Présidentielle : «C'est à Hollande d'assumer son bilan», juge Anne Hidalgo. (lire)

> Et si la justice forçait le PS à organiser une primaire? Après deux courriers restés sans réponse, trois militants socialistes ont décidé d’assigner leur parti en justice et ont déposé une requête auprès du président du tribunal de grande instance de Paris, afin d’assigner le PS à jour fixe. (lire)

> Valls creuse le fossé au PS. (lire)

> Un nouveau coup à la "République exemplaire" promise par François Hollande. (lire)

> Quai-Branly: la belle-fille de Jean-Pierre Jouyet pistonnée? A 25 ans, la belle-fille de Jean-Pierre Jouyet, secrétaire général de l’Elysée et meilleur ami de François Holland, vient d’être nommée adjointe au directeur du mécénat du Musée du Quai-Branly. (lire)


> Réforme des rythmes scolaires: à quand l’évaluation promise par le gouvernement?  Tôt dans le quinquennat, le gouvernement a promis une évaluation fine du retour à la semaine de quatre jours et demi d’école. S’est-elle « égarée en chemin », comme le craint le SNUipp-FSU, principal syndicat du primaire. (lire)


> Pierre Paulin, une rétrospective: aussi à l’aise dans un décor à la James Bond que dans celui de l’Élysée, qu’il a aménagé pour deux présidents de la République française (Georges Pompidou, puis François Mitterrand), Pierre Paulin (1927-2009) s’expose au ­Centre Pompidou. Pourtant – nul n’étant prophète en son pays –, c’est la première rétrospective jamais organisée en France pour Pierre Paulin, avec une centaine d’objets, allant du mobilier aux luminaires, des maquettes à ces trente-cinq dessins virtuoses. (lire)

Pierre Paulin, une rétrospective au Centre Pompidou jusqu'au 22 août 2016.