Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

19 mai 2016

> La salle de presse: 19.05_

verts.png> « Une politique écologique moderne et une bonne politique économique ne sont pas incompatibles »: quand les Verts ont pris le pouvoir il y a cinq ans, dans une coalition avec les sociaux-démocrates du SPD, beaucoup d’observateurs, de chefs d’entreprise et surtout la CDU ont prédit la ruine du Land Bade-Wurtemberg. Cinq ans après, le constat est tout autre : la région prospère. (lire)

emploi.jpg> Le taux de chômage reste supérieur à 10 % en France:
toutes catégories confondues, la stabilisation observée au premier trimestre cache toutefois une hausse de ce que l’Insee appelle le « halo autour du chômage ». Elles étaient 1,4 million au début de 2016, un nombre en hausse de 39 000 sur le trimestre. Leur nombre baisse toutefois sur un an, de 26 000 personnes. (lire)

> Météo: il va pleuvoir des signaux de gauche d’ici 2017. (lire)


> Au meeting de Valls à Évry, on refuse du monde! Lors de sa première « rencontre avec les Français », des élus du Front de gauche ont été recalés. (lire)

> A Évry, un premier meeting hybride de Manuel Valls. (lire)

images.jpg> Le PS ouvre une enquête en raison… d'un afflux d'adhésions! Le parti comptait encore 173.600 membres lors de son congrès de Toulouse, en novembre 2012, ils n'étaient plus que 135.833 au 1er janvier 2016, dont seulement 86.171 à jour de cotisation. Des chiffres qui ne vont pas s'arranger s'il faut, en plus, radier ceux qui ont adhéré au PS à l'insu de leur plein gré. (lire)

migrants.jpg> Un sondage éclairant sur l’accueil des réfugiés: conduite dans 27 pays pour Amnesty International, une enquête montre que les citoyens sont bien plus ouverts que leurs dirigeants. (lire)




julieta.jpg> Julieta:
les fans du Pedro Almódovar mature (disons depuis Tout sur ma mère) apprécieront ce retour à l'intensité romanesque et au portrait de femme, avec la promesse d'une histoire gigogne, mélangeant les époques. D'où un récit comme une fuite en avant, mais dans le passé. Le sentiment de culpabilité est l'inattendue force motrice du film. (lire)

 

Les commentaires sont fermés.