14 septembre 2016
> La salle de presse: 14.09_
> Logement: baisse des APL en vue pour 10% des bénéficiaires. Le gouvernement projette d'inclure dans le calcul des aides au logement la prise en compte du patrimoine. Un coup dur pour les actuels 650 000 bénéficiaires d'une APL en France. (lire)
> "L'inéligibilité pour les politiques qui ont fraudé". Alors que s'achève le procès de Jérôme Cahuzac, le président de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique demande des moyens pour la justice afin de renforcer "l'exemplarité démocratique". (lire)
> Alstom: le coup de gueule d’Édouard Martin. "Manuel Valls, au lieu de passer son été à commenter le burkini, aurait pu s’intéresser à l’avenir d’Alstom Belfort", dénonce l’ancien leader syndical de Florange-Mittal, aujourd’hui député européen PS. (lire)
> Alstom, l’exécutif se paie la paix sociale: après avoir annoncé qu’il viderait son site de Belfort, le constructeur a finalement accepté de négocier, le gouvernement ayant ébauché de quoi conserver l’usine en l’état. Un coup de chaud pour François Hollande. (lire)
> Le patron de la SNCF en mode «no comment, no commandes» alors que L’État tente de lui forcer la main. (lire)
> Alstom ou l’histoire d’un immense gâchis: la Compagnie générale d’électricité, ancêtre d’Alcatel Alsthom, incarnait « l’esprit de conquête ». Mais une succession de fautes a provoqué son déclin. (lire)
> Mort d'Adama Traoré: l'audition d'un pompier révèle l'absence de réaction des gendarmes. Selon son témoignage, les gendarmes ont cru que la victime simulait. (lire)
> Hollande "sera candidat" en 2017 et ses soutiens "se préparent": les autres candidats à gauche? "Des gens aigris". (lire)
> Comancheria: servi par un scénario impeccable, le réalisateur témoigne d'une empathie finement dosée pour tous ses personnages, y compris ceux qui mordent allègrement la ligne blanche. On se croirait par moments revenu dans l'une de ces bonnes vieilles séries B à la Don Siegel. Mais remise au goût amer d'aujourd'hui. Tant sur la désagrégation du lien social que sur les contrecoups violents du despotisme de l'argent, le film s'avère une chronique pertinente, et même assez poignante, de l'Amérique égarée. (lire)
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