29 novembre 2016
> La salle de presse: 29.11_
> Gauche: les ir-res-pon-sa-bles. Face à François Fillon et Marine Le Pen, la gauche est plus que jamais divisée à cinq mois de la présidentielle. De Mélenchon à Macron en passant par le vainqueur de la primaire socialiste, celui de la primaire EE-LV et la candidate du PRG, cette concurrence crée les conditions d’une élimination dès le premier tour. Inéluctable? (lire)
> Présidentielle: des personnalités lancent un collectif pour sauver la gauche (et Hollande ?). Des personnalités issues de la société civile vont lancer mardi soir, à Paris, le collectif L'AG, chargé de réfléchir à 2017, et en premier lieu à une candidature de François Hollande. (lire)
> Le PS ébauche un programme pour 2017 à défaut d’avoir un candidat. (lire)
> Le PS français menacé de "pasokisation"? (lire)
> Hollande est "celui qui parle le plus de dialogue social mais celui qui en fait le moins", selon Mailly (FO): la loi Travail a gommé les différences entre gauche et droite, selon le secrétaire général de Force Ouvrière qui y voit une porte ouverte pour François Fillon. (lire)
> Graffiti: une fois publié son Paris de nuit en 1932, Brassaï (1899-1984) entreprend de photographier les graffitis sur les murs de la capitale comme « des signes semblables à ceux des grottes de Dordogne, de la vallée du Nil ou de l'Euphrate ». Durant trente ans Brassaï prélève ces dessins, griffures, mots ou slogans, peints ou écrits. Les murs sont bavards si l'on sait, comme le photographe, tendre l'oreille. En mettant les graffitis en majesté par ses cadrages, il donne la parole à un inconscient de la société, à la transgression de tabous, au refoulé, aux tensions collectives. (lire)
Jusqu'au 30 janvier au centre Pompidou, à Paris (4e). www.centrepompidou.fr
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