04 janvier 2017
> La salle de presse: 04.01_
> Quand Manuel Valls vire à gauche... Manuel Valls n’aime pas qu’on lui rappelle cette époque, pourtant pas si ancienne, où il jouait les iconoclastes du parti socialiste, défendait la fin des 35 heures et la suppression de l’ISF, et se présentait à la primaire en tenant de l’aile droite. Alors, au bout de deux questions sur le sujet, lors de la présentation de son projet, il s’est agacé. (lire)
> De Hamon à Valls, un camaïeu de rose. (lire)
> Hamon, Jadot, Valls... une idée très différente du revenu de base: une idée qui n'est pas neuve. (lire)
> Europe : les candidats du PS en quête de crédibilité. Les candidats à la primaire ont des conceptions assez différentes de l'avenir de l'Europe et des stratégies européennes à mener. Mais tous doivent relever deux défis majeur : la faisabilité des projets et le poids du quinquennat qui se termine. (lire)
> S. Royal ne sait "pas encore" pour qui elle va voter et fait la leçon à Valls. "Il faut de la créativité et de la crédibilité", explique-t-elle. (lire)
> La France aurait exécuté une quarantaine de djihadistes clés sous Hollande: Si la légitimité est rarement mise en cause, la légalité pose question. "Ce 'permis de tuer' s'apparente parfois à de froides représailles et à des exécutions extrajudiciaires, y compris sous forme préventive". (lire)
> Neruda: dans cet anti-biopic éblouissant, le cinéaste détricote tout et, d'abord, la figure du grand homme. Il s'agit moins de montrer les faits que les effets : l'imaginaire de Neruda, son impact sur tout un peuple, sa puissance créatrice s'échappent, débordent, truquent le réel, dévient la narration. Le film devient vaste et vibrant comme le Chant général, que Pablo Neruda est alors en train d'écrire. (lire)
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