26 avril 2017
> La salle de presse: 26.04_
> Ce que dit la carte du 1er tour: pendant vingt-cinq ans, la configuration systémique «droite»/«gauche» parvenait à se maintenir comme clivage principal et à faire de tout le reste une division secondaire, que chaque «camp» avait à gérer pour lui-même. L’implosion de ce système au cours des deux derniers quinquennats, avec une accélération finale, ouvrait la voie à une réinvention de l’offre. (lire)
> Le jeu étrange de Jean-Luc Mélenchon saisi par des pudeurs de gazelle, pour reprendre son expression. Il fait d’abord mine de douter des résultats, puis il attend de voir. Lui qui n’a rien demandé à personne pour se lancer dans l’aventure présidentielle, le voici qui s’apprête à consulter par internet 400.000 de ses soutiens avant de décider quelle position adopter. (lire)
> Macron «triste pour les électeurs de Mélenchon». (lire)
> Doutes et coup de blues chez des électeurs de Mélenchon. (lire)
> La France insoumise se cache, les communistes s’agacent: pour Pierre Laurent, il n’y aura pas de futur radieux pour Jean-Luc Mélenchon sans le PCF. Chacun écrit sa propre histoire. (lire)
> Au Parti socialiste, plaies profondes et paix de façade: l'enjeu, remettre le couvercle sur les divergences de fond pour maintenir un semblant d’unité et s’éviter collectivement l’explosion et un naufrage dont seraient victimes tous les courants aux législatives. (lire)
> L'Homme aux mille visages: flash-back sur l'un des plus grands scandales politiques de l'Espagne contemporaine. Cette arnaque de haut vol, Alberto Rodriguez la reconstitue comme un thriller plein de punch. Son récit, dopé à l'humour noir, est puissamment addictif, malgré sa complexité — tel labyrinthe de manipulations croisées et de coups de billard à trois bandes. Il est, aussi, d'un machiavélisme redoutable. Car rien n'est jamais sûr dans cette histoire, certes tirée de faits réels, mais dont on sait, dès la première séquence, qu'elle contiendra « des mensonges ». (lire)
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