01 octobre 2012
| 1er octobre '12
d'infos
laselection
La Journée en un clin d'oeil
Vendeur de fruits dans une rue de Bogor, Indonésie. Adi Weda / efe
24H Info
De la primaire au ministère, comment Montebourg a changé de discours: deux années se sont écoulées. Arnaud Montebourg est devenu ministre du Redressement productif. Et son discours a tant glissé qu’il a fini par devenir méconnaissable. (lire)
Florange: "Réfléchissez Monsieur Montebourg, nationalisez !" (lire)
Comment le PS veut faire plier les "nonistes": si vous voulez les énerver, appelez-les "les repentis"...Eux n’ont pas fauté. Ils ont juste pourfendu l’Europe libérale en votant non au traité de Maastricht, en 1992, ou lors du traité constitutionnel européen (TCE), en 2005. Et aujourd’hui, ils sont au front pour faire adopter le traité de stabilité. (lire)
Bernard Poignant, voisin et conseiller très spécial de François Hollande: le premier a été chargé par le second de lui faire remonter les humeurs de l'opinion. (lire)
PS
Des élus têtus jouent la montre: terminé ! La cloche a sonné pour les députés et sénateurs socialistes adeptes du cumul des mandats. En vertu d’un engagement pris devant les militants au moment de leur investiture, les parlementaires PS avaient jusqu’à hier soir pour abandonner leur exécutif local. (lire)
Monde
Des élections législatives scrutées à la loupe se tiennent en Géorgie dans une atmosphère électrique. Elle s'explique par l'incertitude du résultat – le parti au pouvoir, le Mouvement national uni, et le Rêve géorgien du milliardaire Bidzina Ivanichvili se disant par avance certains de leur victoire –, mais aussi par les craintes de troubles. (lire)
Terre
Gaz de schiste: non, la porte n’est pas fermée en France. La loi du 13 juillet 2012 interdit la méthode d’exploitation des gaz de schiste et le Président a annoncé qu’il refuserait les permis qui y ont recours. Mais il n’a toujours pas annoncé de moratoire ou d’interdiction pure et simple de l’exploitation de ces gaz. (lire)
Livres
Jean Renoir au delà des idées reçues: l'intérêt du Jean Renoir de Pascal Mérigeau est de remettre le réalisateur de la Chienne et de La Bête humaine à sa place, la première certes, mais au milieu de lourdes contradictions, d'ombres qui, du strict point de vue du récit, donnent plus de relief à ses lumières. Il refuse de sacrifier à la vision d'un Renoir fait d'un bloc, souligne ses évolutions, ses changements, comme aussi les quelques invariants. (lire)
Publié dans La SALLE de PRESSE | Lien permanent | Commentaires (0)