01 septembre 2016
> La salle de presse: 01.09_
> Le “plaidoyer pour une école sans écrans”: Philippe Bihoux et Karine Mauvilly épluchent minutieusement tous les pans de notre société qui pourraient être influencés par une école complètement numérisée. Mais bien loin de se plaindre sans creuser, les deux auteurs proposent des alternatives et des solutions. (lire)
> Hollande pourrait faire un pas vers la candidature dès le 8 septembre: un appel de parlementaires, dès le début de la semaine prochaine, doit mettre en évidence ce premier pas vers une nouvelle campagne présidentielle. (lire)
> 2017 : lâché de tous les côtés, Hollande doit-il se déclarer sans attendre? (lire)
> Impôts : l’optimisme exagéré de Michel Sapin. Le nouveau ministre de l’économie et des finances a dressé un tableau très optimiste de la situation économique et sociale du pays, vantant les baisses d’impôts de 2015 et promettant de nouvelles l’an prochain. (lire)
> Laurent Berger dénonce un « climat politique dangereux »: le secrétaire général de la CFDT estime dans « Le Monde » que « certains politiques sont en train de fracturer la société autour de débats qui n’ont pas lieu d’être, au détriment des vrais problèmes ». (lire)
> Tour d’horizon des points chauds de la rentrée. (lire)
> «Les morts continuent et personne ne fait rien»: le père du petit Aylan Kurdi, retrouvé noyé sur une plage turque il y a un an, déplore la passivité du monde face aux réfugiés morts en mer. (lire)
> Nocturama était déjà tourné avant les événements du 13 novembre. On peut relever de troublantes convergences entre certains détails et le déroulé des tragédies réelles. Relever, aussi, la pertinence du constat qui sous-tend le film : notre société a fini par devenir une poudrière. Mais Nocturama ne traite pas de l'islamisme. Il se situe comme en amont, ou en surplomb, de la sinistre actualité. (lire)
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31 août 2016
> La salle de presse: 31.08_
Les rives de l'Onyar à Gérone, Catalogne / Luidger / cc
> Marianne et le garçon noir: que la Constitution française ait été expurgée de toute référence à la notion de race n’a pas fait disparaître la réalité sociale que recouvre le terme. Ne pas voir comment cette notion opère dans les cas de brutalité policière concernant des sujets d’ascendance subsaharienne est au-delà de l’hypocrisie. (lire)
> Emmanuel Macron: beaucoup d'amis patrons, peu de soutiens politiques. (lire)
> Au Medef, la droite en mode parade nuptiale: tout le monde parle la même langue, celle qui rend les patrons heureux. (lire)
> Les collectivités baissent leurs aides aux familles: de droite comme de gauche, départements, villes et régions ont rogné sur leurs budgets destinés aux cantines, aux transports ou aux manuels scolaires, ce qui inquiète les familles. (lire)
> Développement, climat: Hollande ne montre pas l’exemple. Derrière les effets de manche aux tribunes du monde entier, il y a les choix budgétaires. Donc politiques. Peut-on croire en un véritable sursaut de la politique française dans ce domaine, alors qu’elle n’a jamais réussi à être aussi exemplaire qu’elle le clame? (lire)
> Les multiples « Choses vues » de Marc Riboud (1923-2016) pour qui la photographie est, dans son «instant décisif», une pédagogie, un acte esthétique voire politique, une morale. Avec lui, une tortue traversant une route en Turquie (1955) s’en sort vivante. Une réception officielle ne tourne pas à la caricature des gobeurs de petits fours mais à la scène cocasse, malicieuse. Riboud a toujours le déclic qui sauve. Son instant T est ordonné par un irréductible optimiste, un pacifiste convaincu. (lire)
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