> La salle de presse: 23.06_

> Hollande empêtré dans ses hésitations: cette fin de quinquennat, de la déchéance de nationalité à cette loi travail, aura mis en scène un président empêtré dans une double contradiction. (lire)

> Loi travail : huit jours d'auto-sabotage gouvernemental. (lire)

> Et si François Hollande était pris d'une soudaine inspiration démocratique... Un peu plus tôt, les dépêches d’agence ont annoncé l’intention du président de s’adresser solennellement au pays. (lire)

> Pas de surtaxe pour l'huile de palme: un "recul" pour les écologistes. Les députés ont aussi interdit, après de vifs débats, les insecticides de la famille des néonicotinoïdes, utilisés dans l'agriculture et considérés comme tueurs d'abeilles, à partir de septembre 2018. (lire)

> Grèce: la BCE accepte enfin de faire un geste. La Grèce est une économie à reconstruire. Les nouvelles mesures d'austérité renforcent encore la destruction de son économie plutôt qu'elle la renforce. Et l'octroi de la bienveillance minimale de la BCE n'y changera rien. (lire)


> Élections en Espagne: un Parti socialiste dans la tourmente et en voie de pasokisation. (lire)

> Grande-Bretagne-Union européenne: les 5 questions sur la table des négociations en cas de Brexit.  (lire)





> Picasso au musée Soulages: même si Picasso est l’un des plus célèbres peintres du 20e siècle, il reste un personnage plein de surprises. Découvrir le créateur de "Guernica" sous toutes ses facettes, c'est ce que propose l'exposition du musée Soulages : une exploration des œuvres permettant aux spectateurs de s'introduire dans le quotidien et l'intimité de l'artiste. Une manière de voir Picasso au milieu des siens : sa famille, ses femmes, ses enfants et ses petits-enfants mais aussi au travail dans ses ateliers. (lire)

Picasso au musée Soulages jusqu'au 25 septembre 2016. Le site du Musée Soulages

> La salle de presse: 22.06_

> Cafouillage: les syndicats pourront finalement manifester à Paris jeudi sur un parcours imposé. La préfecture de police avait d'abord interdit la manif avant que le pouvoir n'impose une volte-face. (lire)

> Manifestation interdite puis autorisée: un pataquès qui résume l'état de la gauche. (lire)

> Manifestation (finalement pas) interdite: l'inquiétante irresponsabilité de l’Élysée. Y'a-t-il un pilote dans l'avion ? Ou plutôt qui est-il ? (lire)

> «Qui se déchire, en réalité? C’est pas la gauche, c’est le Parti socialiste!» (lire)

> La primaire de gauche mérite mieux que cette petite entreprise tactique: un aveu d’échec pour François Hollande, qui a fini par s’y soumettre faute de disposer de la légitimité nécessaire pour imposer sa candidature dans son propre camp, et un constat d’impuissance du Parti socialiste, qui ne parvient plus à rassembler ses troupes ni à trancher en son sein ses différends. (lire)

> “Le maintien de l'ordre en France est en retard sur les doctrines qui ont cours en Europe”: une conception relativement nouvelle se développe autour de la notion de désescalade. Issue du travail social, elle a été importée par la police jusqu'à devenir une ligne directrice du maintien de l'ordre. L'objectif est moins de rétablir l'ordre que d'empêcher le désordre de se cristalliser. (lire)

> Référendum de Notre-Dame-des-Landes: les opposants dénoncent un «49-3 environnemental. Il y a un défaut d’information, toutes les questions n’ont pas été posée.» (lire)



> Les scénarios possibles après les élections en Espagne: les partis ont tous promis qu'il n'y aurait pas de troisième tour. (lire)




> Love & Friendship: revoilà « le Rohmer américain » à la tête d'une nouvelle comédie, adaptée de Lady Susan, court roman épistolaire écrit par Jane Austen dans sa jeunesse. En illustrant cette satire dont l'héroïne est une belle veuve désargentée, rusée et sans scrupule — une sorte de Marquise de Merteuil comique —, Whit Stillman montre qu'elle est, avant tout, une observatrice redoutable (et drôle !) des mœurs de son temps. (lire)