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21 janvier 2016

> La salle de presse: 21.01_

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Des enfants palestiniens jouent sur la plage de Gaza. Khalil Hamra / ap / sipa

> Non, monsieur Macron, la vie d'un entrepreneur n'est pas «plus dure» que celle d'un salarié.
(lire)

> La petite musique Valls à Davos. (lire)

> A la Fnac (et ailleurs) , le travail du dimanche divise plus que jamais: ce d'autant plus que si la fréquentation touristique ne se relève pas, des magasins ouverts mais sans clients peineront à créer les nouveaux emplois tant espérés. (lire)

> Avoir le courage de sortir de l'état d'urgence: lorsque les libertés publiques sont en jeu, on n'attend pas d'un homme d’État qu'il se détermine sur des sondages ou des calculs électoraux. (lire)

ecr.jpg> Edmonde Charles-Roux, le courage de la liberté: résistante, journaliste et romancière, celle qui partagea près de vingt ans la vie du maire socialiste de Marseille Gaston Defferre, cachait sous ses allures de grande bourgeoise un cœur à gauche, une volonté de fer et les passions d'une rebelle.. (lire)



wolf hall.jpg> Wolf Hall: les livres d'histoire nous ont dépeint Thomas Cromwell, conseiller d'Henri VIII, comme l'exécuteur des basses œuvres du royaume. Cette magnifique série de Peter Kosminsky, inspirée par les tableaux du Caravage et éclairée à la bougie, en fait un personnage complexe et attachant. Adapté des ouvrages à succès de ­Hilary Mantel, Wolf Hall est sans conteste l'une des plus remarquables séries historiques produites ces dernières années par la BBC. (lire)

Wolf Hall (épisodes 1, 2 et 3/6) - Jeudi 21 janvier à 20h55 sur Arte

19 janvier 2016

> La salle de presse: 19.01_

> François Hollande en état d’urgence: le sort du président de la République se joue maintenant. Il ne lui reste plus que quelques semaines, trois à quatre mois tout au plus, pour modifier la perception que les Français ont de son bilan et pour poser les bases crédibles d’une nouvelle candidature présidentielle, dont personne ne doute qu’il s’y prépare. (lire)

> Pacte de responsabilité, un bilan qui divise:  le gouvernement a consacré 41 milliards d’euros à son dispositif phare. Les syndicats sont critiques. Manuel Valls va réunir les partenaires sociaux pour faire les comptes. (lire)

index.jpg> La manie des remaniements: ça bruisse, ça monte, ça gamberge et cela ne va pas s'arrêter. Le dernier grand remaniement du quinquennat se profile... Bruno Le Roux l'entrevoit dans les prochaines semaines. (lire)

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Déchéance de nationalité: le PS décide de gagner du temps.
Les membres du bureau national du Parti socialiste se sont réunis lundi soir. Ils ont décidé…de ne pas décider. (lire)

> Révision constitutionnelle: ce que cache le calendrier de l'exécutif. (lire)

école.jpg> Les professeurs des écoles insatisfaits: pour autant, 80 % des professeurs des écoles sont « fiers » d’exercer leur métier et 75 % se disent « motivés », notamment par la transmission des savoirs et la réussite des élèves. (lire)


> Affaire Cahuzac : de nouvelles informations divulguées par Mediapart.  (lire)

index.jpg> Selon Oxfam, les inégalités explosent (toujours plus) dans le monde: en 2015, 62 super-riches détenaient autant que la moitié la plus pauvre de la population mondiale. En 2010, ils étaient 388. L'ONG s'alarme. (lire)




marocains.jpg> Leila Alaoui - Les Marocains: elle est la trentième victime de l'attaque djihadiste dans la capitale du Burkina Faso. La jeune femme était reconnue dans son milieu professionnel, au Maroc, en France, ainsi qu'au Liban, où elle vivait une partie de l'année. Après New York, Dubaï ou encore l'Institut du monde arabe (IMA) à Paris, son travail avait été exposé ces dernières semaines, jusqu'à ce dimanche à la Maison européenne de la photographie, à l'occasion d'une Biennale dans la capitale française. (lire)

tournier.jpg> Michel Tournier (1924-2016): il ne pensait pas grand bien de la vieillesse, se plaignait de s’ennuyer et de ne plus pouvoir voyager à ceux qui venaient lui rendre visite dans sa retraite de la vallée de Chevreuse, au presbytère de Choisel, où il s’était installé il y a plus d’un demi-siècle. Venu tardivement à l’écriture – il avait 42 ans lors de la parution de son premier roman –, Michel Tournier avait cessé de publier des fictions au mitan des années 1990. Il laisse derrière lui une œuvre saluée, dès ses prémices, pour son importance, sa capacité à mêler les mythes et l’histoire, le prosaïque et la transcendance, mais numériquement peu importante, au regard de sa longévité. (lire)