> La salle de presse: 02.11

Champs de safran en fleurs à Srinagar, Cachemire. Mukhtar Khan / ap/ sipa

> En cas de déroute, «il n’y a pas de carte de rechange»:  les déçus de 2012, réfugiés dans l’abstention, ont les clés du scrutin. (lire)

> Corse: la schizophrénie socialiste. Le PS a investi Emmanuelle de Gentili, dont la politique régionaliste est en opposition... avec celle du gouvernement. (lire)

> Pour François de Rugy, pas si facile de soutenir le gouvernement:  la faute au retour d’un dossier qui (tiens, tiens) empoisonnait les relations entre écologistes et socialistes du temps où ils étaient ensemble au gouvernement, le projet d’aéroport du Grand-Ouest sur le site de Notre-Dame-des-Landes. (lire)

> Retraités modestes exonérés d'impôts locaux: pourquoi maintenant? Au pouvoir, la gauche n'est pas revenue sur  la suppression de la demi-part des veufs, votée en 2008 par la majorité précédente. (lire)



> En Turquie, Erdogan retrouve les moyens de poursuivre sa dérive autoritaire d'autocrate plus ou moins éclairé. (lire)

> Les Guerres du président: Mali, Syrie, attentats de Paris... David Revault d'Allonnes montre comment le président "normal" a endossé l'uniforme de chef des armées. Coulisses d'une conversion au pas de charge. (lire)

Les Guerres du président, par David Revault d'Allonnes. Seuil, 19€.

> La salle de presse: 01.11

Smog dans le ciel de Hong Kong, Chine. Paul Hilton / efe

> 20 ans après la mort de Yitzhak Rabin, Israël se souvient: il avait signé les accords d'Oslo avec Yasser Arafat, pour pacifier les relations israélo-palestiniennes. (lire)



> Élections législatives en Turquie: après l’impasse, l’implosion? Ce qui se joue actuellement à Ankara n’est rien d’autre que l’avenir de la démocratie, suspendu à trois défis. (lire)

> Notre-Dame-des-Landes: de Rugy dénonce une "reprise des travaux" contradictoire avec les positions réitérées du président Hollande. (lire)

> Le Groenland, percé comme du “fromage suisse”:  à un mois du démarrage de la conférence sur le climat, qui se tiendra à Paris du 30 novembre au 11 décembre, elle met le réchauffement planétaire sur le devant de la scène. (lire)


> Notre petite soeur: ce film est l'histoire d'une réconciliation familiale, filmée avec une infinie délicatesse. La douceur et la délicatesse sont un peu la marque de fabrique d'Hirokazu Kore-eda,  sa manière de s'intéresser de film en film à la famille et aux blessures de l'enfance. Et la grâce opère. On ressort apaisé, réconforté, remué, de ce drame familial où les blessures, les abandons et le deuil n'empêcheront pas les héroïnes de réussir leur lumineux parcours vers l'harmonie et la réconciliation. (lire)