> La salle de presse: 27.06

Ayacucho au Pérou, un vendeur de rue quitte le marché local avec ses paniers. Rodrigo Abd / ap / sipa

> Grèce: Alexis Tsipras convoque un référendum le 5 juillet. Si ce référendum montre qu'il n'a pas pu arracher assez de concessions aux créanciers, il montre aussi qu'Alexis Tsipras a désormais repris la main dans son bras de fer avec eux. On comprend que ces derniers doivent désormais être furieux. (lire)

> "Au peuple grec de parler sans pression ni chantage". Alexis Tsipras vient, encore une fois, bouleverser l’ordre technocratique gentiment établi dans les couloirs de Bruxelles. Comment ? En osant se tourner vers cette « chose » que l’on redoute tant en ces lieux: le peuple ! (lire)

> Tsípras oppose le choix démocratique au «coup d'état financier»: même l’idée d’un retour à la drachme ne semble plus effrayer une grande partie de l’opinion grecque...Ce samedi matin, pour la première fois, certaines banques refusaient provisoirement les versements en euros. (lire)

> Soyons réalistes: 10 raisons d’ouvrir les frontières. L’ouverture des frontières permettrait enfin de sortir d’un engrenage de violences qui a déjà fait des milliers de morts parmi les migrants, et de dessiner un horizon pour un véritable projet politique européen en matière d’asile et d’immigration. (lire)

> Le retour du trio Hollande-Valls-Cazeneuve: comme en janvier, l'exécutif s'est réparti les rôles pour gérer la secousse d'un nouvel attentat et ne laisser aucune faille à la droite. (lire)

> Le débat sur l’efficacité des services de renseignement relancé: les services de renseignement risquent de se retrouver de nouveau sur la sellette. (lire)

> Grève des taxis: les VTC se frottent les mains. Force est de constater que le bilan est positif financièrement pour ces derniers. (lire)

 

 

> Les Mille et Une Nuits, L’inquiet: ne pas ânonner le réel (fasciné par les défaites, convaincu que toute action est inutile) mais sublimer la crise, telle est l’ambition folle que se donne le cinéaste portugais Miguel Gomes qui veut par stratégies obliques et formes hybrides redonner du lustre, de l’étoffe, une vibration à un quotidien qui, sinon, se dérobe dangereusement entre les commentaires économistes et la relégation muette. (lire)

 

> La salle de presse: 25.06

Une mère coiffe sa fille à Safeda Basti, un bidonville à l'est de Delhi. Photo: Adam Ferguson/WaterAid

> Ségolène Royal lance la «bataille de Paris» pour le climat estimant que «la première responsabilité de la France était d'être exemplaire» avant d'accueillir le sommet sur le climat à Paris. (lire)





> Grèce: pourquoi les discussions n'avancent pas. FMI et Européens jouent avec le feu en refusant de se donner les moyens de trouver un accord. L'Europe doit respecter sa propre parole, qui, le 20 février, affirmait que la Grèce devait décider de ses propres réformes dans le cadre du programme. Sinon, la rupture deviendra inévitable. (lire)

> Les créanciers d’Athènes suscitent incompréhension et colère chez les Grecs. (lire)

> WikiLeaks, le site qui exaspère les États-Unis. (lire)

> NSA: Valls et son incroyable mauvaise foi. Le Premier ministre réclame la création d'un "code du renseignement", alors qu'il vient de faire voter une loi pour mettre n'importe qui sur écoutes. (lire)

> PS | Le député frondeur Philippe Noguès quitte le parti: premier frondeur à franchir le pas, il conteste tout autant le fonctionnement du Parti socialiste que le choix de la ligne Valls-Hollande. (lire)

> Chômage: la hausse indéchiffrable. Un « événement inhabituel » amène Pôle emploi et le ministère du travail à divulguer plusieurs chiffres. (lire)

> UberPop: comment le gouvernement s'est laissé déborder. (lire) et cède, sous la menace des taxis. (lire)

> Contrôles au faciès: «Une brèche est créée dans le droit». Le candidat François Hollande s’était engagé, en 2012, à lutter contre le «délit de faciès». Une promesse vite tombée aux oubliettes, sous la pression du ministre de l’Intérieur de l’époque, Manuel Valls. (lire)

> L'Inca et le Conquistador: deux hommes, une même ambition. À travers les portraits de l’Inca Atahualpa et du conquistador Francisco Pizarro, l’exposition retrace les moments-clés de la conquête de l'empire Inca et met en scène la rencontre de deux mondes, à l’orée de leur destin puis l’affrontement de ses deux protagonistes. (lire)

L'Inca et le Conquistador au Quai Branly jusqu'au 20 septembre 2015.